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28/08/2015
Maison à restaurer (bis,21)
La maison qui était plutôt coquette est maintenant à restaurer, mais la puissance de l'imaginaire est grande et je pense qu'elle va vite retrouver ses couleurs et son volume. Je compte sur l'aide psychique et l'humour bien connu de mes lecteurs pour qu'elle retrouve son état antérieur dans les plus brefs délais. Tous les conseils techniques et dons seront à adresser à : Train de bancs des vacances imaginaires, code postal 00000000++ Paysd'ailleurs. Merci d'avance.
Ariaga
09:36 Publié dans Nostalgie, poésie, rêve, Vacances imaginaires | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : rêve, humour, vacances imaginaires, voyage, maisons
Commentaires
ARIAGA À TOUS, ce texte est celui qui "date" le plus mais je crois que l'on peut le transposer en 2015 car j'ai l'impression, quand je regarde autour de moi, que le déménagement à été un véritable cyclone. tel que mon chat fait la grève de la faim depuis dix jours et qu'il s'affaiblit à vue d’œil. Heureusement qu'il (elle) avait des réserves !
Encore deux textes et ce nostalgique voyage en arrière sera terminé. Un petit blanc ( je sens que Thierry va faire une astuce ...) et j'espère que la vie normale du Laboratoire va reprendre.
Je vous embrasse tous.
Écrit par : Ariaga | 28/08/2015
Fermette qui demande de la fermeté, bicoque où la flotte passe (casseroles et plats de rigueur pour récupérer l'eau des fuites) , ensemble vieilli (mal) , spartiate pour vie à la roots, terre battue sur tertre avec vue dégagée, eau à la pompe (à bras) et électricité à la route (tranchée nécessaire) .
Affaire à saisir, sans laisser moisir (plus) , prix négociable à débattre (mais pas sciable) , le propriétaire se débat dans des histoires de voisinage (il ne nage pas dans le bonheur) oh zut il fallait pas le dire ! ; contacter notaire ou encore agence rurale pour visite (pas de l'étage, le plancher est pourri) pour les laitages ça a tout d'une écurie!
Voilà où conduit l'incurie quand on n'entretient pas soigneusement son bien, il se fait la malle et il ne reste plus qu'à compter les gouttières et à écouter les flocs.
Merci Ariaga d'avoir entrouvert la boite...à souvenir, pour soutenir non un siège mais une pause.
Petit en 1965 mes parents cherchent un bien pas trop éloigné de paris sur la route entre étampes et pithiviers , pour transformation en résidence secondaire; on nous fait visiter une grange, oui une grange , avec le foin et le reste, les râteliers et tout le toutim ! On était bête mais de là à acheter un truc merdique et enclavé, non !
Plus tard on trouvera une maison et ...des ruines, enfin une maisonnette avec presque rien, tout juste un peu d'électricité et un peu d'eau à l'évier , on partira de rien , avec des ennuis, un notaire véreux, obligation de racheter un bout de terrain déjà payé, du travail par dessus la tête, un investissement de ...49 ans de mes parents
la construction d'une maison (nous même pour le gros œuvre y compris charpente, et toiture) et de bien d'autres choses et ça se terminera avec une vente largement sous le prix qu'on imaginait
quand fourbus mes parents redirent les armes de leur passion , de leur retour à la campagne , qu'ils nous avez fait partager parfois un peu de force à mon frère et moi.
fin du chapitre, à suivre...donc
Écrit par : THierry | 28/08/2015
Fermette qui demande de la fermeté, bicoque où la flotte passe (casseroles et plats de rigueur pour récupérer l'eau des fuites) , ensemble vieilli (mal) , spartiate pour vie à la roots, terre battue sur tertre avec vue dégagée, eau à la pompe (à bras) et électricité à la route (tranchée nécessaire) .
Affaire à saisir, sans laisser moisir (plus) , prix négociable à débattre (mais pas sciable) , le propriétaire se débat dans des histoires de voisinage (il ne nage pas dans le bonheur) oh zut il fallait pas le dire ! ; contacter notaire ou encore agence rurale pour visite (pas de l'étage, le plancher est pourri) pour les laitages ça a tout d'une écurie!
Voilà où conduit l'incurie quand on n'entretient pas soigneusement son bien, il se fait la malle et il ne reste plus qu'à compter les gouttières et à écouter les flocs.
Merci Ariaga d'avoir entrouvert la boite...à souvenir, pour soutenir non un siège mais une pause.
Petit en 1965 mes parents cherchent un bien pas trop éloigné de paris sur la route entre étampes et pithiviers , pour transformation en résidence secondaire; on nous fait visiter une grange, oui une grange , avec le foin et le reste, les râteliers et tout le toutim ! On était bête mais de là à acheter un truc merdique et enclavé, non !
Plus tard on trouvera une maison et ...des ruines, enfin une maisonnette avec presque rien, tout juste un peu d'électricité et un peu d'eau à l'évier , on partira de rien , avec des ennuis, un notaire véreux, obligation de racheter un bout de terrain déjà payé, du travail par dessus la tête, un investissement de ...49 ans de mes parents
la construction d'une maison (nous même pour le gros œuvre y compris charpente, et toiture) et de bien d'autres choses et ça se terminera avec une vente largement sous le prix qu'on imaginait
quand fourbus mes parents redirent les armes de leur passion , de leur retour à la campagne , qu'ils nous avez fait partager parfois un peu de force à mon frère et moi.
fin du chapitre, à suivre...donc
Écrit par : THierry | 28/08/2015
Il m'a bien fait rire, ce texte, m'a rappelé le "bon temps" où, bien que je n'habite pas près de la mer, mes petits enfants dévastaient ma maison.... Ce qui n'est plus près d'arriver.
Il paraît que tout ce qui se présente à nous, nous fait progresser et avancer, croyons-y...
Bises, chère amie :-)
Écrit par : _Petit Sucre_ | 05/09/2015