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13/07/2007
Radiographie d'Ariaga
Lâchement attaquée par un virulent virus je remonte à la surface, mais voyez dans quel état. Cependant j'espère bientôt reprendre la mer...
Ariaga
15:25 Publié dans blog et quotidien, photo | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : écriture, photo, nature, bateau, mer, photos
Commentaires
Vire les us et coutumes, je te promets de nouveaux horizons ;-)
Écrit par : Kaïkan | 13/07/2007
Bien sûr vous allez reprendre la mer, mais surtout pas avec ce truc là! c'est une vieille peau, Kaïkan a raison. :-)
Bises révolutionnaires.
Écrit par : djaipi | 13/07/2007
Alors j'attendrai que la grande voile soit hissée (Djaipi en posséde de sublimes sur ses jonques); je rejoins votre sentier prés de la mer pour guetter votre retour...!
Écrit par : grainsdesel | 14/07/2007
Changements de climats incessants... les Virus jubilent et twistent à coeurs ouverts... ça partouze dans la faune microscopique... et nos organismes sont les terrains idéaux pour des orgasmes mortifères...
Quelle galère, n'est-ce pas ?
Regonflez-vous à Bloc !
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Écrit par : Nebo | 15/07/2007
Rien de grave j'espère ? à en voir la photo... c'est plutôt inquiêtant !
je te souhaite un prompt rétablissement
à bientôt
Écrit par : gaiia | 16/07/2007
Je te souhaite alors un bon vent !
Écrit par : lancelot -de-retour | 18/07/2007
Et comme un petit coup de Mallarmé n'a jamais fait de mal à personne....
La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres.
Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres
D'être parmi l'écume inconnue et les cieux !
Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe
Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe
Sur le vide papier que la blancheur défend
Et ni la jeune femme allaitant son enfant.
Je partirai ! Steamer balançant ta mâture,
Lève l'ancre pour une exotique nature !
Un Ennui, désolé par les cruels espoirs,
Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs !
Et, peut-être, les mâts, invitant les orages,
Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages
Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots ...
Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots !
Écrit par : Mulciber | 24/07/2007