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09/07/2007
Marée basse
La descente commence
patience et modestie
il faudra bien passer
par les basses marées
s'enfoncer dans la vase
et puis parfois s'échouer
pour atteindre l'eau bleue
du rêve voyageur.
Ariaga
16:40 | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : écriture, poésie, spiritualité, photo, nature, mer, photos
Commentaires
De la "Feuille-monde" à cette "marée basse" en passant par l'arbre de Khaïkan et puis les fleurs de route, n'est-ce pas là déjà un charmant voyage que tu offres à tes visiteurs les plus rêveurs ! Chère Ariaga, je me suis vraiment régalé par ce survol de papillon que tu effectues par tes mots poétiques imprégnés de couleurs te de sensations douces. Merci pour m'avoir enchanté.
RAFRAFI
Écrit par : RAFRAFI | 09/07/2007
Belle chute !
Écrit par : yubai | 09/07/2007
merci pour cette marée, je vous envoie un peu de l'eau rêvée du voyageur bleu.
Écrit par : djaipi | 09/07/2007
les hortensias, l'océan... un rêve s'est accroché à mes yeux
Écrit par : Gabriel | 10/07/2007
Pour moi, c'est l'image de la Bretagne que j'aime tant.
Bonne journée.
Écrit par : elisabeth | 10/07/2007
Le calme y règne dans ce vagabondage, même si je suis plus absorbé par le mauve couronné de vert et qui m'empêche de deviner le bleu.
Écrit par : le_peintre | 10/07/2007
Alors on se le fait ce plongeon !!! Je suis certaine que la température de l’eau est supérieure à celle de l’air…et que tout corps bloggesque plongé remontera à la température ambiante…Il est vraiment joli ton petit chemin fleuri qui mène jusqu’à la grande et je ne m’étonne plus des bancs philosophiques qui le parsèment…C’est vrai ça change de l’infini plat…Ah ! Ariaga ! Je ne sais pourquoi j’ai envie de descendre pour remonter en geyser d’apaisement caniculaire…
Dis... toi grande Alchimiste…pourrais-tu dire au printemps que c’est bon…et qu’il laisse place à l’été…Je suis sûre tu peux !!! Ecris !
Écrit par : Aslé | 10/07/2007
@ Aslé et TOUS LES AUTRES vos commentaires m'ont fait plaisir mais c'est moi qui suis à marée basse. Comme il n'y a plus de saison je fais mon angine d'hiver et je n'ai pas les yeux en face des trous à cause de la fièvre. Alors tu vois Alslé je crois que mes forces de persuasion sur les saisons sont faibles...il va falloir que tu te mettes au travail toi même. Je te laisse les clefs du laboratoire !
Écrit par : ariaga | 10/07/2007
C’est pas possible ça Ariaga !!! Ton angine !!! Ton angine !!!
Mon arrière grand-mère disait ça aussi. Je n’aime pas les clés, je les perds tout le temps…ET LES AUTRES VOUS VOUS REVEILLEZ…Ariaga est en DANGER…
Bon...je t’embrasse fort même si tu es contagieuse et ne t’inquiète pas je ferai des tournées de veilles tous les soirs et mê=me le jour…pas envie qu’on te dérobe tes valeurs spirituelles…
Écrit par : Moi aslé | 10/07/2007
Ce petit sentier tout en courbe prolonge mes rêves d'évasion dans cette Nature où le temps n'a plus d'importance...!
Rêver, encore rêver, toujours rêver...!
Et si ma quête de l'inaccessible passait par cette pérégrination du rêve si cher à Jung...?
Écrit par : grainsdesel | 10/07/2007
...bon pour le passage grain du ciel !!!..;)
Écrit par : la veilleuse de nuit | 10/07/2007
Ah la la, à courir par vents et marées ( même basse), on finit par prendre froid mais faut dire que le temps y ajoute son pi(g)ment ... Bon, j' amène une couverture et un bon grog près du banc voyageur ... J' ai toujours pensé que l' angine était le signe d' une parole qui cherche à se libérer ... ;-) Prends soin de toi, Ariaga ;-)
Écrit par : Kaïkan | 10/07/2007
Pour l'angine, je ne retiendrai que "l'ange", souhaitant qu'il l'emporte là où c'est l'hiver...!
Prompt rétablissement.
Écrit par : grainsdesel | 11/07/2007
Peut-être la chaude décoction de quelques mots enluminés rendraient à l’Athanor ses phrases de liberté…J’ai veillé toute la nuit de chaudes larmes pour que revienne ici ton esprit…J’ai même failli t’écrire ! D’ailleurs où est la faille si ce n’est que je ne sais pas dire…Repose-toi comme un trésor et quand les flammes de ton mal se seront tues, reviens nous vite de ta vive voix toute éclaircie…
Tendrement,
Princesse Aslé
Écrit par : Aslé | 11/07/2007
ce puits est en surnombre
trouvant son ombre alitée
Ho pluie du nombre de vérité
Fuis! dans la lumière sombre!
un nano nyme
Écrit par : phyta | 12/07/2007
Un grand merci pour ces beaux mots maginifquement illustrés. La vase que l'on veut éviter mais qui finalement vient caresser l'entr' doigt de pieds avec une sensualité dont il ne faut parler... à y regarder de près on y trouve les plus beaux trésors!
Écrit par : clairem | 12/07/2007
...je passais pour voir si tout allait bien ici...
Je t'embrasse Ariaga et porte toi bien dans l'ombre sereine qui est la tienne, toute douce d'éclaircie...
Écrit par : la veilleuse du blog(j'ai les clés) | 12/07/2007
Je m'en vais grimper (un peu) vers les sommets alpins et je laisse la mer derrière moi mais je me retournerai :-)
Écrit par : aliscan | 13/07/2007
Repose-toi bien, et le soleil d'été revient pour remplacer ton angine d'hiver.
Écrit par : le_peintre | 13/07/2007
Vous flirtez avec le lac... Ariaga, mais j'hésite à ponctuer.
Écrit par : Marie Gabrielle | 03/09/2007