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03/06/2009

Spirale de l'amour

 

plante enroulée.jpg

Mon amour,

ma fleur d'or,

il fut un temps où tu enroulais mon corps dans les volutes de ton désir.

Il fut un temps où nos esprits partageaient le même vase sur l'athanor.

Quand le corps t'a trahi l'esprit est demeuré

brillant de force et de lumière

et maintenant

que le vase se vide doucement,

et maintenant

que je marche près de toi

sur le chemin d'acceptation

d'une spirale qui se défait,

et devient lentement

ligne droite,

mon amour s'élargit à l'infini

jusqu'aux limites de la vie

et chaque instant devient

goutte essentielle.

Ariaga

 

Commentaires

Tranche de vie ...

Écrit par : Bruno | 03/06/2009

---> Bonjour très chère,

Ainsi quand le vent de l'amour peut balayer l'ombre des méchants, le coeur peut à nouveau suivre le soleil et remonter vers la source d'où l'astre nous accorde sa lumière. Et sur ses pas il retrouve un nouveau souffle, une autre aurore, des autres mots pour ses tendres et fidèles ami(e)s...

Très beau texte très chère, Jack qui t'envoie une bise de son radieux silence.

Écrit par : © Jack MAUDELAIRE | 03/06/2009

Très beau texte plein de douceur !!!


Bonne soirée et nuit !!:**

Écrit par : patriarch | 03/06/2009

c'est magnifique, j'en ai le souffle coupé !
beaucoup d'émotions dans ces mots d'amour
Bonne soirée Ariaga

Écrit par : ambre | 03/06/2009

J'en ai presque pleuré. Un des plus beau poème que j'ai lu, dans sa limpidité pure. Le dicible dit l'indicible, et l'amour est le zénith et le nadir de toute vie. MERCI.
EPHEME

Écrit par : éphême | 03/06/2009

Accepter de se défaire, oui, il faudra que je m'en souvienne.
Merci.

Écrit par : jean | 04/06/2009

touché
merci

Écrit par : Lung Ta | 04/06/2009

Je t'envoie de la force.. l'amour marche à tés côtés.
Bisedouces.

Écrit par : Cile | 04/06/2009

et le silence suit.
Essentiel et beau, merci Ariaga.

Écrit par : la Mère Castor | 04/06/2009

@ Bruno, merci de ton passage. je signale à tous les lecteurs que, sur ton blog, textes et photos sont vraiment à lire et regarder.

Écrit par : ariaga | 04/06/2009

@ Jack, je suis heureuse que le gardien du seuil étant parti tu puisses à nouveau nous faire profiter de tes silences si parlants.

Écrit par : ariaga | 04/06/2009

Les vases se brisent un jour ou l'autre
mais celui qui s'occupe à y cultiver l'amour
ne partira pas d'ici dépourvu,
il ne partira pas les mains vides.
C'est ça qui compte.

Merci pour ce poème très touchant Ariaga.

Écrit par : Kea | 04/06/2009

Ma douce et si tendre Amie, tu connais tous les mots que je pourrais prononcer pour accompagner les tiens, tu les entends transcender le silence et la paix de mon coeur si proche du tien.
Avec tout mon amour.

Écrit par : Muttifree | 05/06/2009

L'essence ....
Merci Ariaga .

Écrit par : annelau | 05/06/2009

Quelle force et quelle douleur et douceur se lisent entre ces mots ...
Ton âme est belle Ariaga, ce texte me touche en intimité ...

Écrit par : Kaïkan | 05/06/2009

Superbe texte.
(PS : un peu poilue la "spirale" -rire-)
Je t'embrasse,

Écrit par : Mû | 05/06/2009

Je n'ai jamais lu un texte aussi beau et émouvant sur le véritable amour qui transcende tout.
Merci Ariaga. Je t'accompagne sur ce chemin.

Écrit par : danae | 05/06/2009

Chaque instant est si précieux quand on aime, on n'a plus la même vision du temps qui passe. Bon week end.

Écrit par : elisabeth | 05/06/2009

très chère Ariaga

c'est beau, c'est fort, ce ne peut être que Vérité
près de toi Ariaga

Écrit par : mariedumonde | 05/06/2009

@Patriarch, le mot douceur m'est doux... je sens à travers lui beaucoup de compréhension.

Écrit par : ariaga | 05/06/2009

@ Ambre, c'est difficile de dire quelque chose sur l'émotion. C'esst un sentiment très personnel mais en donner crée un lien.

Écrit par : ariaga | 05/06/2009

@ èphême, je te sens proche...

Écrit par : ariaga | 05/06/2009

@ Jean, tu as trouvé les mots justes : "accepter de se défaire",. il y a des commentaires que l'on voudrait ajouter au poème.

Écrit par : ariaga | 05/06/2009

oui c'est beau, tes mot sont superbes
j'aimerais écrire de si belles chose
bon week end

Écrit par : peintrefiguratif | 06/06/2009

Que tu écris bien Ariaga, c'est super ce texte, et tu vois, ça me touche beaucoup, c'est pelin d'amour, le bout d'un long chemin...je t'embrasse bien fort...

Écrit par : le Pierrot | 06/06/2009

Que de pudeurs en ce poème d'un amour immuable. Merci de ce partage. Je t'embrasse.

Écrit par : Chris-Tian Vidal | 06/06/2009

un amour où deux âmes son unis pour l'éternel où l'essence de nos sens s'illuminent !!!!! bisous phil

Écrit par : le baladin | 06/06/2009

très beau texte, sensible et sincère.

Écrit par : astrale | 07/06/2009

@ Lung Ta, un seul mot et moi aussi je suis touchée...

Écrit par : ariaga | 07/06/2009

@ Cile, elle est importante moi cette force car sa source est forte.

Écrit par : ariaga | 07/06/2009

@ La Mère Castor, merci. je suis allée me ressourcer chez ma Mère la nature sur ton merveilleux blog. Il me fait du bien.

Écrit par : ariaga | 07/06/2009

@ Kea, tu as raison, l'amour remplit les mains et même si les vases se brisent il y demeure.

Écrit par : ariaga | 07/06/2009

Bise à toi Ariaga, je te souhaite un bon début de semaine.

Écrit par : le Pierrot | 08/06/2009

C'est un magnifique chemin que tu suis, or du temps et hors du temps...

Écrit par : Ray | 08/06/2009

De belles images dans ce poème !

Écrit par : aliscan | 08/06/2009

@ Aliscan, j'apprécie et merci pour tes commentaires sur mon blog photo.

Écrit par : ariaga | 09/06/2009

@Ray, une superbe formule que tu m'offres là. Je ne sais si je la mérite mais elle me fait plaisir.

Écrit par : ariaga | 09/06/2009

@ Astrale, je crois bien que si ce n'était pas sincère ce serait indécent, tu ne crois pas ?

Écrit par : ariaga | 09/06/2009

@ Le Pierrot, ta fidélité et ton grand coeur sous tes aspects baroudeur me sont très précieux.

Écrit par : ariaga | 09/06/2009

@ le baladin, je crois que les âmes ne se perdent pas, elles se fondent avant de s'individuer à nouveau, enrichies. Vision toute personnelle !

Écrit par : ariaga | 10/06/2009

@ Chris-Tian, moi qui craignais l'impudeur tes mots me rassurent.

Écrit par : ariaga | 10/06/2009

@ peintre figuratif, j'ai une erreur de chargement de page quand je vais chez toi. J'aurais aimé après ton commentaire.

Écrit par : ariaga | 10/06/2009

@ Muttifree, même si nous ne nous connaissons pas "physiquement", moi aussi je me sens proche sur le chemin.

Écrit par : ariaga | 12/06/2009

@ Anneleau, tu sais que j'ai l'impression de t'avoir rencontrée dans un autre monde du blog ?

Écrit par : ariaga | 12/06/2009

@ kaïkan, te toucher, toi qui a tant de force dans tes textes, est pour moi un privilège.

Écrit par : ariaga | 12/06/2009

@ Mû, merci pour l'appréciation. Pour ce qui est des poils cela peut avoir son charme !

Écrit par : ariaga | 12/06/2009

@ Danae, je crois que la beauté d'un écrit se trouve surtout dans le regard de celui qui le lit. Merci à toi.

Écrit par : ariaga | 13/06/2009

@ Elisabeth, c'est vrai que le temps est une notion toute relative.

Écrit par : ariaga | 13/06/2009

@ Mariedumonde, merci de cette proximité qui m'apporte de la force.

Écrit par : ariaga | 13/06/2009

Une sensibilité si touchante.

Amitiés

Écrit par : Joseph | 14/06/2009

@ Joseph, merci. Je recommande à mes lecteurs d'aller voir ton blog, non seulement parce qu'il parle joliment de la nature à la Réunion mais aussi parce qu'il est , en partie, consacré à Saint John Perse.

Écrit par : ariaga | 14/06/2009

Très beau poème !

Écrit par : MADmoiselle | 14/06/2009

@ MADmoiselle, merci de la visite. J'ai souvent vu tes commentaires chez Lechantdupain et je suis sensible à ton appréciation.

Écrit par : ariaga | 15/06/2009