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11/06/2007
Faiseurs d'or et philosophes alchimistes
16:45 Publié dans Alchimie | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : écriture, spiritualité, livre, citation, Jung, Bonardel, alchimie
Commentaires
En tout cas, j'ai même compris... c'est donc qu'il doit y avoir eu des traces, des empreintes, une sorte de chemin tracé - ici, parcouru par toi avec un souffle qui donne envie...
J'aime énormément ce qui est dit par rapport à l'état d'esprit - "avec" - trouvé ici dans son opposition (?) à un système d'exploitation et d'appropriation qui ne paraît d'emblée par à sa place (pourquoi ?).
Or, je réfléchissais aujourd'hui à la "capacité" de quelqu'un à se laisser traverser par une émotion. Eh bien, cette personne pourra devenir le jouet d'une autre profondément malhonnête qui ne saura la conduire où elle veut se rendre... et prétendra le contraire afin de captiver son esprit le temps d'un premier marquage. Ceci n'est qu'un exemple, que je comprends mal, mais qu'il m'a déjà été donné de pouvoir observer.
C'est pourquoi ton idée de la pratique d'une alchimie poétique me paraît aussi intelligente.
Car l'alchimie du feu dont tu nous parles s'en rapporte, n'est-ce pas, à l'humain en soi, et donc à ses mots comme matière, non ?
Quand à la synchronicité, Ariaga, je trouve ça génial ; aussi bien concernant "nos" lectures (plus frappant, local...), qu'en des termes plus généraux.
Merci beaucoup de cette introduction, tellement réussie qu'on dirait déjà un peu sa conclusion...
Écrit par : Marie Gabrielle | 11/06/2007
(joli labsus... pas à sa place... !) bien sûr.
Écrit par : Marie Gabrielle | 11/06/2007
"Or, je réfléchissais aujourd'hui "... ce § sent qui son vécu titille l'idée de poudre de projection. Projection, on voit ce que c'est, mais poudre?
Écrit par : phyta | 12/06/2007
Phyta (bonjour), j'ai été un peu fort dans ma tentative à y voir clair dans certain "jeu", en parlant de "marquage". Le mot m'en est venu : je l'ai laissé passer...
La poudre ? dans un rapport avec "la peau de l'ours" (celle que l'on vend)...
C'est-à-dire que la personne vraiment amoureuse de son image - alors certaine de l'action de "sa" volonté de puissance sur autrui, eh bien l'autre - en face - en "objet" de désir "humain", ne devient plus "considérable" que "modelable", c-à-d exploitable.
C'est un jeu de pouvoir sans fin. Je me suis permis de l'aborder car il me semble que l'alchimie comme quête de ce qui nous grandit, pourrait devenir vitale...
J'ai fini, et vous prie de bien vouloir m'excuser si le risque que j'ai pris à l'établissement d'un pareil "lien" devait se révéler gratuit, inutile, et surtout "scandaleux" (au sens fort).
La poudre évoquant alors ici dans ce contexte : l'attention détournée par une forme d'hypnotisme, ou bien... la poudre d'escampette.
Écrit par : Marie Gabrielle | 12/06/2007
Bonjour Ariaga, tu étais présente dans certaines conversations lors de l'AG à Hauteville !
Concernant ce voyage vers le Soi auquel tu nous convies épaulée par Yung: je suis partant ! ...simplicité et humilité seront donc nos gilets de sauvetage: génial !
A bientôt donc...
Écrit par : stéphane | 12/06/2007
@Marie Gabrielle et @ Phyta je vous lis avec intérêt, l'alchimie des mots que vous versez dans l'athanor se suffit à elle même et je ne vois pas pourquoi je transmuterais quoi que ce soit. Continuez l'"opus".
@ Stéphane,d'accord avec toi pour la simplicité et l'humilité on ne peut progresser sans. Comme je suis certaine à la lecture de tes propos et en ayant été visiter ton blog que tu n'as pas de vanité mal placée je te corrigerai l'orthographe de JUNG qui ne s'écrit pas Yung. A bientôt.
Écrit par : ariaga | 13/06/2007