Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« Materia prima | Page d'accueil | Cordages »

24/02/2011

C.G.Jung et la totalité de la vie


écriture,philosophie,culture,jung,nature


Pendant la dernière partie de son existence, C.G.JUNG privilégia l'idée d'une totalité humaine immergée dans la grande totalité de la vie. Si on adopte cette vision, la discussion entre philosophies et religions au sujet de la prééminence entre le corps et l'esprit n'a plus de sens car l'un est intiment lié à l'autre. Dans cette totalité, chacun est à la fois unique par son individuation et en relation avec l'ensemble de la Nature. La totalité de la vie, y compris celle de la vie de l'esprit, serait alors faite d'un seul et même substrat.

Ariaga



Commentaires

:-)

Écrit par : Amezeg | 24/02/2011

@ Amezeg, Merci !

Écrit par : ariaga | 24/02/2011

je préfère Bossuet, tu sais bien...bise Ariaga, je retourne dans mes songes, et demain dans mes vices...

Écrit par : le Pierrot | 24/02/2011

Apaisante vérité...

Écrit par : Jean Bissur | 24/02/2011

tout était dit, tout était fait, tout est a faire, ou a défaire.
Bise et bonne soirée à toi Ariaga

Écrit par : Peau d'âme | 24/02/2011

Chère Ariaga

J'ai toujours du mal avec le mot totalité qui suppose des limites mais m'amène à un isthme, je ne m'en donne aucune (des limites, façon de parler) ;))).
mais comme le printemps des poètes doit traiter de paysages infinis
je vais te proposer un petit texte.
J'avoue m'être gratté sérieusement la tête à la lecture de ce texte court
mais ardu.

"Horizons infinis"

Combien d’hommes sont partis dans des directions
Croyant trouver au bout ce que leur imagination
Leur avait représenté mais ils durent de fait s’incliner
Devant la rotondité de la terre et entrevoir l’enfer
Combien d’aventuriers sont revenus avec leurs cahiers
N’ayant pas pu consigner tout ce que leurs yeux avaient vu
Et revenus de tout après avoir bu au calice
Combien de voyageurs ont vu se refermer les délices
De la réglisse comme du Santal, du Coprah et des épices
Combien d’explorateurs ont raté des buts et tâté de la peur
Sans jamais trouver l’objet de leur convoitise
Malmenés et éberlués, en guise de friandise
Combien de navigateurs ont testé les vertus célestes
Pas cabotins en cabotage mais à la manœuvre lestes
Combien de vigies ont scruté depuis les huniers
Prêts à annoncer et à faire envoyer les couleurs
Alors que c’est sans provisions qu’ils ont connu la douleur
Combien de marchands et de capitaines ont vécu le scorbut
En guise de purgatoire pour avoir oublier leur but
Et que les vivres ne pouvaient indéfiniment se conserver
Combien de découvreurs ont payé de leur vie
Ces prises de risques insensées avec de telles méprises
Alors que la logistique ne coupe pas le chemin
Mais montre la voie dans une bien comprise maîtrise
Combien d’entrepreneurs ont manqué du sens des réalités
Pour finir en chemise avec des ouvriers complètement alités
Combien de marins et de pasteurs se sont enferrés
Sur des routes barrées qu’ils prétendaient ouvrir
Combien de comédiens ont affronté les planches
Et les ont brûlés avec la plante de leurs pieds fatigués

Écrit par : Thierry | 24/02/2011

Je ne me ferais jamais à ces débats, je suis trop terre à terre.... Bises !

Écrit par : patriarch | 25/02/2011

Les scientifiques sont allés, dans la période récente, très loin dans la compréhension du corps physique (jusqu'à l'ADN et manipulation génétique), mais ne sont pas allé bien loin dans la compréhension de "l'esprit"

Écrit par : Binh An | 25/02/2011

éternel recommencement pour savoir la vérité

Jean-marc

Écrit par : tamerlan95 | 25/02/2011

Le corps et l'esprit sont intimement liés pendant cette vie, car il n'y a qu'à se rendre compte du pouvoir de l'esprit sur le corps. Ainsi quand le moral ne va pas bien, on est mal dans son corps, si l'on est joyeux, on guérit plus vite. J'espère avoir bien répondu ?! Bisous Ariaga amie fidèle.

Écrit par : danae | 25/02/2011

@ Danae, avec tes mots simples tu dis ce que je voulais exprimer tu mieux que n'importe quel philosophe ...

Écrit par : ariaga | 25/02/2011

@ Binh An, oui, on oublie souvent l'"esprit". Je suis allée voir ton blog qui est un vrai bijou.

Écrit par : ariaga | 25/02/2011

je dois t'avouer que je n'ai pas pris le temps de te lire. mon objectif: passé saluer tout le monde depuis le temps!
bon weekend

Écrit par : veronique | 25/02/2011

Pourquoi y a-t-il des concepts comme ça, qui me sont totalement inaccessibles ?

Écrit par : Gicerilla | 26/02/2011

chère amie !

c'est beau, simple et évident !
Décidément C G JUNG et toi quelle belle équipe !
je t'embrasse

Écrit par : mariedumonde | 26/02/2011

Ma chère Ariaga, je ne suis pas Jungnien, je dirais que je suis plus prôche de Lacan, surement à cause des jeux de langage, mais j'ai beaucoup de respect pour son travail que je connais un peu et des amis sont bien plus proches de lui.
Je vais soumettre ton texte à mon fils qui étudie la philosophie, car j'ai du mal à réagir face à celui ci , c'est surement pour cela que j'ai noyé le poisson avec un texte fleuve, ne m'en veut pas chacun a ses faiblesses
les miennes sont grandes en ce moment, mais je me sens encore plus près de toi.

Écrit par : Thierry | 26/02/2011

Est-il préférable d'entendre la corporification de l'Esprit ou de la spiritualisation du Corps ?...

Écrit par : Phène | 26/02/2011

L'esprit n'est pas localisé, il est divisé et multiple et la fusion des données, les structures d'interprétation et de symbolisation qui donnent sens à nos sens nous jouent aussi des tours.

L'étude des psychotropes par la CIA et l'armée US avaient ouvert des horizons nouveaux, il ne nous reste plus que les pluies acides qui rongent et dissolvent, désagrégent aussi.

Alors dans le paysage mental ou emmental qui s'émiettent et se faille, il faut aussi retenir les logiques d'actions d'ifférentes avec les effets diférés et différenciés, les cascades aussi, les avalanches en fait.

Jamais on ne réduira à nos modèles simplistes des ordinateurs même quantiques le fonctionnement de ce modèle d'aboutissement trilobé
et si la conscience participe de l'esprit, elle ne l'est pas car il y a un monde d'intercesseur entre, qui pratiquent l'analyse, la schématisation, le symbolisme.

"Conscience… toujours trop loin de la science"

Dans la prescience de son être barbote t on en dessous de la surface du cortex, quand on voudrait croire que l’on se connaîtrait mieux soi même et qu’aucun tiers ne pourrait nous observer et déceler à notre insu quelques traits non cachés mais si bien dissimulés ou dont le miroir du regard nous aurait exonéré un peu vite.

Dans le monolithisme qui trop souvent est la règle y a t il encore l’espoir d’aller à la rencontre d’une personne plurielle comme le sont ses cerveaux et ses multiples activités.

Tout bien considéré n’y a t il pas lieu enfin de laisser éclater tous ces lambeaux de vérité qui pour nous être familiers, un par un, chacun dans son compartiment, ne constituent ils pas dans l’instantanéité un corps unique de grande conscience incarnée et souveraine qui coordonnerai tous ses membres à l’unisson les mettant au diapason.

Pourquoi les discordances ne seraient elle sinon la règle du moins une composante de la fragmentation, de cette partition qui règle les pupitres mais accepte la fausse note.

Car dans cette multiplicité y a t il absolument besoin d’une unité déjà que le lieu et le temps identifient trop souvent des îlots mémoriels, la presqu’île des sens.

Daniel C Dennet dans un ouvrage dérangeant sur la conscience, sa nature et notre perception de ce qu’elle pourrait être et les effets de médiation et d’intelligibilité de nous sur nous.

Mais il cherche à aller plus loin et nous interpelle vigoureusement sur les travestissements et les libertés prises.

Parler d’illusionnisme et de déconstruction du grand théâtre cartésien suppose d’en avoir bien foulé les planches et exploré les moindres recoins.

Si le corps est fortement couplé à ce grand être intérieur alors tout le non verbal souvent exprimé de manière inconsciente sauf pour ceux doté d’un contrôle total sur leurs gestes trahit de nous même des pans entiers de refoulé et de conditionnement qu’un œil attentif et averti aura vite fait d’interpréter à notre grand étonnement.

Ainsi nous pourrions nous échapper à nous même mais n’est ce pas ce que nous faisons dans les actes de création, quand l’analogie créatrice nous propulse loin du théâtre d’ombre vers des lumières insoupçonnées.

Il n’y a pas de point de vue unique et continu comme si tout s’enchaînait c’est faire fi des ruptures et des drames, des hiatus et des changements, des lignes pointillées point pillées mais laissées de côté.

Alors bannir de notre esprit ce moi total en pantin trop bien articulé qui jamais n’ignorerait dans l’instant la moindre parcelle de souffle, la moindre parcelle de vie.

Et d’abord comment viennent à la conscience le moindre des sujets sans pour autant passer à la postérité mais déjà marquer et se faire remarquer dans le concert assourdissant de toutes ses pensées tumultueuses qui journellement nous assaillent.

C’est tout l’attrait du repos que de favoriser interclassement et archivage, rangement et comparaison et quand la mise en relation, le rapprochement éclaire d’un jour nouveau des perspectives.

C’est non pas une victoire ou une apothéose mais juste la suite de l’histoire, improbable parfois faite de rencontres aléatoires et d’un développement combinatoire jamais linéaire et sans histoires.

Alors le connais toi, toi même doit il être inversé pour aller des généralités au particulier et favoriser une inférence mais pas une ingérence qui permettrai de spécifier, d’apprécier les particularismes locaux après coup comme autant de modulations stochastiques de phénomènes et de tableaux.

Même si cet empire intérieur mais pas hanté rieur nous amène à la circonspection, la mosaïcité et la plasticité lui sont si familières que rien n’est indifférent, rien n’est dans la fixité absolue.

Les recalages sont imperceptibles mais permanents car l’adaptation aux situations fait partie des règles sociales et les donnes sont fréquemment renouvelées qui font que les mains changent les stratégies s’affinent et ne conduisent pas toujours à la ruine pourvu que l’émoi sans être tenu éloigné du moi ne le submerge totalement.

Alors ne sommes donc que la somme de nos cerveaux, même les plus endormis, et aussi des illusions ou idées conformes mais surtout qu’on forme, que se font nos cerveaux d’eux même comme quoi la physique optique a ses limites que la conscience ferait bien de ne pas ignorer quand elle prétend s’auto- décrypter dans le miroir quelle se tend avantageusement.

Écrit par : Thierry | 26/02/2011

Puisque c'est la saison du ski et bien que je n'ai pas pris de poudre et donc pas d'appétence psychédélique (pas ski et délices) je me laisse aller sur la pente de la confession , prêt à déclencher mon ARVA d'ancien randonneur à peau de phoques et à brasser l'air pour ménager ma bulle celle qui me fera peut être survivre assez le temps de l'arrivée des secours !

"Comme une avalanche…dans mon cerveau"

Qui a dit que j’étais situé dans un fonctionnement neuronal intermédiaire entre un mode chaotique hyper rapide et un système ordonné sur stable mais au contraire dans un petit monde qui temporise et optimise spatio - temporellement les réactions en chaîne qui sinon auraient vite fait de nous engloutir dans un fond.

Osciller entre la stabilité trop parfaite et inhibante qui donne trop d’inertie au système et une hyper réactivité qui fait sur réagir et ne possède pas de capacité à tamponner et à amortir certaines réactions, trouver un point d’équilibre instable au sommet d’une vallée énergétique avec ce juste assez qui peut si près provoquer l’avalanche qui va transmettre rapidement et efficacement mais aussi qui va permettre de mémoriser, et dans ces inter temps de stabilité qui donnent la possibilité de mobiliser en grand nombre une cohorte pour traiter en mode pulse des bouffées d’intelligence qui vienne dans une forme de désordre ordonné et sans ordonner à la conscience, traitent séquentiellement des voies multiplexées.

Alors oui l’intelligence comme la rapidité de penser, et l’inaptitude aux comportements sociaux sont d’abord des aptitudes temporelles à traiter de l’information en mode pulse en mode burst sans donner dans l’éclatement et dans l’explosion afin de canaliser et de redonner du champs et de la vigueur, des stop and go, des reset et des rest qui permettent par ces impulsions d’avancer d’éviter la paralysie et de trouver du ressort pour relancer la mécanique et de tendre vers un but ou de s’en approcher petit à petit.

Si mon cerveau est un système complexe cortical et limbique, un fatras invraisemblable il se peut aussi qu’il organise lui-même sa propre fuite en avant dans un désordre structuré et apparent qui permet toujours de traiter et de séquencer, d’écrêter aussi et d’accrétionner, sans amalgame, de structurer et de partitionner, par des fonctionnements adaptés toute ces chaines de sens pour donner plus de sens au tout dans une symbiose qui sans être l’apothéose, ose et essaie, combine et anime pour insuffler l’esprit, une forme de logique dont la combinatoire nous échappe mais dont les mécanismes sont eux même sou tendu par un fonctionnement opérationnel de détecteurs et de capteurs aux seuil bien placés pour éviter les effondrement et les lock in comme les lock out.

Ce texte est une libre adaptation/interprétation de la lecture d’un article paru dans le new scientist du 27 juin 2009, pp 34-37 intitulé « your brain is like a pile of sand.That’s why it has such remarkable powers, finds David Robson » ou « Disorderly genius »
Un point aussi récent qu’ébouriffant sur le fonctionnement du cerveau, ses principes, ses caractéristiques et ses disparités.

Écrit par : Thierry | 26/02/2011

@ Thierry, si le Laboratoire peut être comme un creuset, où tu mets à fondre sur l'athanor la matière qui déborde de ton être conscient et inconscient, il remplit sa fonction ...

Écrit par : ariaga | 26/02/2011

@ Phène, plutôt que OU OU pourquoi pas ET ET.

Écrit par : ariaga | 26/02/2011

@ Gicerilla, et si tu regardais tout simplement la photo elle te parlerait peut-être plus. Les mots, parfois ne veulent pas franchir la frontière de notre compréhension. L'image peut "sauter aux yeux de l'esprit".

Écrit par : ariaga | 26/02/2011

@ Mariedumonde, J'aime ces mots "simple et évident", c'est aussi ce qui me semblait mais je crois qu'il y a, dans notre monde actuel où notre attention est sollicitée par tellement de bruits et d'images inutiles, un baisse de la faculté de réflexion et surtout de concentration. Il est difficile de lutter contre cela.

Écrit par : ariaga | 26/02/2011

Parce que Ariaga, il ne peut y avoir d-eux !...

Écrit par : Phène | 26/02/2011

@ Peau d'âme, j'aime bien ton commentaire, belle illustration de l'idée de Totalité.

Écrit par : ariaga | 26/02/2011

Pour percevoir cette totalité paradoxale l'une des conditions, mais non la seule, est sans doute que je cesse d'être un adorateur de "moi-même" ou un adorateur de mon agilité mentale, de ma culture si je prétends être un individu cultivé, bref, je crois que cette perception n'est pas compatible avec une enflure du "moi" ou avec un œdème intellectuel mais demande au contraire un dépouillement et une humilité devant le mystère de la Création et de l'être qui la contemple et en témoigne. C'est dans le silence de nos prétentions à "savoir" que s'élève, je crois, le murmure de ce non-savoir savoureux, connaissance intime dont on ne peut que faire l'expérience, hors des livres et des théories. :-)

Écrit par : Amezeg | 26/02/2011

@ Amezeg, je suis tout à fait en phase avec ton commentaire.

Écrit par : ariaga | 26/02/2011

Et je suis, pour ma part, tout à fait d'accord, Ariaga, avec ce que tu as dit juste un plus haut : " ….. mais je crois qu'il y a, dans notre monde actuel où notre attention est sollicitée par tellement de bruits et d'images inutiles, un baisse de la faculté de réflexion et surtout de concentration. Il est difficile de lutter contre cela." Cette remarque a d'ailleurs sans doute contribué à la naissance de mon commentaire.

Écrit par : Amezeg | 26/02/2011

je crois que cette perception n'est pas compatible avec une enflure du "moi" ou avec un œdème intellectuel mais demande au contraire un dépouillement et une humilité devant le mystère de la Création et de l'être qui la contemple et en témoigne. C'est dans le silence de nos prétentions à "savoir" que s'élève, je crois, le murmure de ce non-savoir savoureux, connaissance intime dont on ne peut que faire l'expérience, hors des livres et des théories. :-)

Écrit par : Amezeg | 26.02.2011

voilà ce que Amezeg a décrit et développé si bien du "simple et évident"
merci de cette "explication" qui me convient tout à fait

Écrit par : mariedumonde | 27/02/2011

La simplicité et l'épure ont fuiut notre cité, on parle de cécité ou de complexité mais sans rien simplifier il faut exemplifier et savoir enfin à quoi se fier.
Merci Amezeg ça fait du bien de trouver des gens qui expliquent et rendent intelligible.

Pour ma part Ariaga je suis dans des convulsions étranges et qui dérangent, la convection est forcée et brasse en paquet , le sérum de vérité n'a pas encore coulé et la brasse est entamée.

Je suis d'accord pour que cesse le nombrilisme et que tombent les masquent mais ce n'est pas un jeu et on peut y laisser la peau.

Merci à tous

Écrit par : Thierry | 27/02/2011

Pour moi cela s’appelle tout simplement Le Panthéisme…

Écrit par : Humanimalités | 27/02/2011

@ Humanimalités, tu as raison ...

Écrit par : ariaga | 27/02/2011

@ Thierry, mes pensées vont vers toi et si elles peuvent t'aider à supporter les "convulsions", un mal que je connais, j'aurai apporté une petite pierre à l'édifice ... en construction.

Écrit par : ariaga | 27/02/2011

Notre ADN étant unique, pas de problèmes avec notre nature et la nature. Ce sont les hommes qui pointent du doigt les défauts de chacun et qui ne comprennent pas notre façon de vivre qui est unique pour chacun. Bonne journée Ariaga et je reprends mes visites de blog aujourd'hui.

Écrit par : elisabeth | 28/02/2011

Bonsoir,
une idée que je partage pleinement
notre ami Jung était un génie ....
Bonne soirée
Amicalement
Daniel

Écrit par : bichon39 | 28/02/2011

j'ai validé un peu trop je crois, merci de faire sauter les doublons !

Écrit par : bichon39 | 28/02/2011