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28/04/2012

La vie après la mort

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Cela fait aujourd'hui deux ans que mon amour, mon compagnon, a pris le train sans retour pour le voyage de l'autre côté de la vie.

Je l'envie car maintenant il sait, il voit, il comprend.

Et moi ? Je laisse lentement se détériorer mon corps et mon esprit dans un cocon d'évitement de la souffrance. Je n'avance pas, je suis plus morte que lui.

Ce matin, je sens comme une présence irritée, déçue : celle de celui qui m'aimait forte, de celui qui a compté sur moi pendant tellement longtemps pour l'aider à porter le poids de lourds handicaps.

Alors ... je vais accepter, pleurer toute la journée, laisser la douleur m'envahir, me vider, et puis, quand l'apaisement viendra, je vais, seule et confiante, reprendre le voyage de la vie. Pas dans un grand train, un petit vélo suffira, mais je pédalerai joyeusement pour que cette vie après la mort de l'autre ait enfin un sens.

Ariaga

Commentaires

Gros bisous pour t'accompagner le long des heures et de la route...

Écrit par : lechantdupain | 28/04/2012

Au delà des croyances
on "sait" en vivant la vie, malgré tous les malgré
L'autre "sait" par notre "vie vivante"

le chagrin légitime n'empêche pas de vivre, il peut même nourrir la vie, comme la vie dans l'instant nous parle de tous ceux qui sont passés avant nous, non pas pour nous retenir, mais pour nous nourrir sur tous les plans

On peut être handicapé, et pédaler, avec un vélo électrique, cela n'empêche donc pas d'avancer dans le paysage de la vie ;o))

Je pense à toi dans cette journée de tristesse et t'envoie plein de pensées de vie, de joie, de grandeur,
au delà de toutes les croyances ;o))

bises

Frédéric

Écrit par : Frédéric | 28/04/2012

Bonjour mon amie,

Malgré la pudeur et la délicatesse de tes mots qui expriment l'intime souffrance, on ressent comme un impérieux besoin, un irrépressible désir...la vie en somme.

Ma très chère Ariaga, tu parles de cocon et de sens et je sens, je sais, que dans ce moment charnière de ta vie peut s'accomplir une grande magie : la transformation.

Sache que je t'accompagne en pensée,
Jean

Écrit par : Jean | 28/04/2012

"Je l'envie car maintenant il sait, il voit, il comprend"
oui mais tu sais bien que tu ne peux pas tout savoir , tout voir, tout comprendre tant que le corps,temple de l'âme, "l'emprisonne" trop souvent hélas!

Mais il est certain que l'amour qui vous liait te donnait la force qu'il te faut retrouver absolument c'est ce qu'il te dit encore maintenant je suis sûre .

je pense à toi amie
je t'embrasse fort

Écrit par : mariedumonde | 28/04/2012

Chère Ariaga ...Je ne savais pas que ce jour était marqué par cette perte . Que te dire ? ....Je sais qu'il y a des signes de cet au-delà ...Qu'ils ont un sens ,pas facile à définir sur l'insant ...
Toute mon amitié vers toi .Mes pensées...Que le courage soit avec toi ,ton compagnon ...il est dans ton chagrin ,il se prolonge en toi .Tant que tu es là en ce monde ,il n'est pas dans l'oubli .Dur chemin ...
Reste avec nous ...encore .

Écrit par : Hécate | 28/04/2012

Julos Beaucarne écrit la nuit suivant la mort de sa Loulou: "Je resterai sur le pont, je resterai un jardinier, je cultiverai mes plantes de langage. A travers mes dires, vous retrouverez ma bien aimée, il n'est de vrai que l'amitié et l'amour." Chère Ariaga, je te souhaite de transmuter cet immense chagrin peu à peu en une paix profonde, où ton bien aimé bien sûr aura toujours sa place au creux le plus tendre de ton coeur.

Si tu veux lire la lettre au complet: http://www.greatsong.net/PAROLES-JULOS-BEAUCARNE,LETTRE-OUVERTE-DE-JULOS-BEAUCARNE,101278360.html

Écrit par : Michelle | 28/04/2012

Bonjour chère et tendre âmie,
Ton talent d'alchimiste s'exprime dans ta réelle volonté à recouvrer la vie en la Vie... De tout Coeur avec Toi en cette pénible épreuve

Écrit par : Phène | 28/04/2012

Julos Beaucarne écrit la nuit suivant le décès de sa Loulou: "Je resterai sur le pont, je resterai un jardinier, je cultiverai mes plantes de langage. A travers mes dires, vous retrouverez ma bien aimée, il n'est de vrai que l'amitié et l'amour." Je te souhaite de transmuter peu à peu cette immense souffrance en une paix profonde, où bien sûr l'empreinte de ton bien-aimé dans le creux tendre de ton coeur restera toujours vivante. - Bon courage!

Si tu veux lire la lettre au complet: http://www.greatsong.net/PAROLES-JULOS-BEAUCARNE,LETTRE-OUVERTE-DE-JULOS-BEAUCARNE,101278360.html

Écrit par : Michelle | 28/04/2012

Ariaga, je pense à toi en cette triste journée et t'envoie une brassée de bises fleuries et parfumées par la vie.

Écrit par : anne marie | 28/04/2012

Egoïstement je prends tes mots, je pense à moi, parce que tu me redonnes ce sens à la vie que j'avais perdu.
Abandonne-toi Ariaga, mais pas trop longtemps, parce que ses bras ont le souvenir de ce que tu es et seras toujours, pour lui, pour toi et pour vous.


(et il est bien ce vélo...même que les Princesses avouent aussi leur faiblesse à la Reine électricité)

Je t'embrasse fort fort fort

Véronique

Écrit par : Aslé | 28/04/2012

je t'envoie mes pensées.
et un grand sourire d'amitié,
Et puis je te fais confiance. Comme tu as su prendre soin de lui, tu sauras prendre soin de toi avec tout l'amour que ton (grand) coeur te donne. La grande amoureuse que tu es saura embrasser (embraser) la vie :)
je t'embrasse

Écrit par : Virginie | 29/04/2012

Je n'aurais pas pu écrire hier un commentaire. Ton texte, d'une vérité déchirante, me faisait monter des larmes d'émotion. Je suis, avec mon doux double, de tout cœur avec toi, moi qui suis entouré de deux de mes petits et des babils de deux petits anges de 5 et 7 ans. Bonheur inestimable, que beaucoup ne savent pas goûter, car il est précieux, et transparent, comme le diamant. Un bon bisou d'un petit mec de 5 ans, tout content de retrouver Papy qu'il n'a pas vu depuis un mois et demi, c'est un lever de soleil sur la mer de la vie.

BISES

ÉPHÊME

Écrit par : ÉPHÊME | 29/04/2012

Bonsoir Ariaga,
peut-être bien que les corps ne sont juste que des vêtements et que l'énergie circulant un peu partout dans tout ces corps est déjà nôtre.
Le miroir qui vient se manifester à nous est là pour nous faire grandir de cette présence, car elle est manquante en nous sinon le miroir, la projection ne serait jamais venu(e).
Se dire: ce n'est pas le temps que cela a duré qui compte, mais ce que cela a apporté, car cela suffit toujours qu'importe la durée, c'est ce qui était nécessaire, ni plus ni moins, ce qui était bon pour nous, parfait.
L'énergie de cet amour ici, est là en soi, elle ne peut-être nulle part ailleurs car si on cherche ailleurs alors on est dans l'illusion, dans le rêve des formes et des apparences, et là vient la souffrance.
Nous ne sommes pas des individus, pas des personnes, c'est l'Un qui expérimente tout son être (l'univers) en se divisant en petites cellules, alors on croit qu'on est divisé, séparé, mais il n'en est rien. L'espace qu'il y a entre nous et les autres nous donne l'impression d'être plusieurs, c'est une illusion.
Ce conjoint parti c'est toi. où veux-tu partir ailleurs qu'en toi-même ?
Où l'énergie peut-elle s'évader si ce n'est en elle-même ?
Tout est parfait tel que ça est. Si une mission est finie, alors c'est que l'âme a fini d'apprendre ce qu'elle avait à apprendre et continue le chemin. Ce qu'elle est venu apporté a suffit et ce que nous avons apporté nous-même également.
Cette autre partie de nous-même a besoin de sentir que ces autres moi l'encouragent à ne plus rester attachée à la matière terrestre comme une âme errante, car les souffrances, et les plaintes retiennent les âmes.
Il faut guider et rester serein, confiant, heureux, plein de joie pour ceux qui partent, car alors si on pleure pour ceux qui partent ou sont partis, comme un miroir on pleurera également pour nous, et nous aurons alors du mal à nous détacher du monde de l'illusion et faire le grand passage serein.
La plus grande chose vraiment, c'est de rester avec tout cet amour en soi que cet autre moi nous a apporté, voila la seule chose à voir. La manifestation de ce miroir a permis qu'on s'ouvre plus à notre réalité universelle. Elle n'est venue, ou plutôt, nous l'avons fait venir que pour ça.

Paix et Amour

Écrit par : eipho | 29/04/2012

Chère Ariaga,
Lorsque j’ai perdu ma mère en 2007, qui était mon dernier parent, j’ai eu une période de détresse épouvantable dont je ne parlerais évidemment pas avec les mêmes mots que toi vu que la relation entre une mère et sa fille n’a rien à voir avec un compagnon d’amour, néanmoins je voudrais te dire que la douleur et les larmes sont utiles, elles ont leur rôle à jouer dans l’épreuve que tu traverses. Outre le fait qu'elles vont te vider de toutes tes émotions souffrantes, elles disent que pour régénérer la force que tu puisais dans l’amour de ton compagnon, et que pour dépasser ce chagrin il faut toucher le fond .. comme le chantait si bien Brel, "celui des deux qui reste se retrouve en enfer".
Cette acceptation d’avoir mal, de t’autoriser à te sentir vulnérable aujourd’hui est paradoxalement la seule chose qui va te permettre de (re)construire ton demain.
Tu vas voir, cet abîme on en sort, un jour on revoit toute la lumière de la Vie, et on arrive même à remonter en selle avec joie. Mais je sais que tu le sais.
Je te serre dans mes bras Ariaga.

Écrit par : ambreneige | 30/04/2012

Le temps actuel n'est pas propice à la joie, il accompagne bien ta douleur, mais tu verras lorsque le soleil réapparaîtra, tu iras mieux et tu pourras emprunter le vélo pour de petites promenades dans des sentiers fleuris . Celui qui est là-haut n'en sera que plus heureux car en ce moment il est triste de te voir pleurer.
Je pense bien à toi chère Ariaga, nous tes amis (es) t'accompagnons, ne l'oublie pas.

Écrit par : danae | 30/04/2012

Je crois voir, Ariaga, que sa paisible monture, que ce petit cheval de fer (breton : marc’h houarn) a porté l’héroïne jusque sur le pont fleuri qui enjambe la fluctuation des phénomènes et relie les rives du connu et de l’inconnu, du présent éphémère et de l’éternité profonde. Au fil de l’eau, s’en va ce que nous fumes et sur le pont se tient Le Voyageur Immobile, accueillant toute peine et toute joie, puis les laissant aller au fil de l’eau. Ce voyageur est ce qu’Il est, de toute éternité. Passé, présent et avenir, en Lui, ne sont qu’un seul. Je roule pour Toi, Lui dit l’héroïne enfourchant à nouveau son petit cheval d’Aventure...

En toute sympathie,
Amezeg

Écrit par : Amezeg | 30/04/2012

Coucou la dame...tout va bien par içi ?

Écrit par : le Pierrot | 30/04/2012

il faut pédaler pour que l'assistance intervienne, mais dans la vie aussi il faut s'agiter pour avancer avant que de pouvoir parfois compter sur une aide opportune, surtout quand la côte est raide.
toutes mes amitiés malgré un gros passage à vide, pas de rétropédalage pour autant, de la roue libre plus exactement, à se chercher !

Écrit par : Thierry | 30/04/2012

Ah, chère Ariagia...
Je reçois tes mots, comme un cadeau, celui de ta présence parmi nous.

Écrit par : Miche | 01/05/2012

Un petit coucou pour te souhaiter un bon 1er mai, chère Ariaga ! Bises

Écrit par : Phène | 01/05/2012

Bonjour Ariaga

La perte d'un être cher est toujours un déchirement avec un sentiment d'abandon profond. Je crois à un autre monde, invisible du notre mais pourtant présent. Nous sommes des voyageurs à travers l'éternité et c'est notre âme qui voyage et pas notre corps.
Bon courage Ariaga. Nous restons encore sur terre et nous devons continuer notre route. L'heure n'est pas encore venue.
La vie est comme un livre. Il faut tourner la page pour pouvoir lire les suivantes et arriver à la fin du livre.Poursuis ton chemin, ton compagnon est certainement près de toi pour te protéger et t'aider.

Écrit par : Daniel | 02/05/2012

@ ARIAGA À TOUS, Je remercie tous ceux qui ont mis des commentaires sur cette note. Vous m'avez apporté beaucoup et je vais maintenant aller de l'avant. Il n'y aura plus d'"anniversaire".
Je vais bientôt publier une note pour tenter d'expliquer les changements "opératoires", au sens alchimique du mot, que je vais apporter dans ma manière d'envisager le sens de ce blog. Je vais aussi, tout doucement car je dois ménager ma vue, reprendre mes visites sur les blogs amis.
Merci d'avoir parlé à l'oreille de mon coeur.

Écrit par : ariaga | 03/05/2012

Heureux de te revoir
oui, la vie n'est que transformation, ou, métamorphose.

Ne pas oublier, nos blogs - nos créations, sont une œuvre.

Tout vient pour que nous puissions nous dépasser, aller au-delà de nous-même, nous transcender. Et chacun traverse ses propres épreuves personnelles en vue de s'accomplir.

Paix et Amour

Écrit par : eipho | 03/05/2012

Vous me bouleversez car au-delà de votre propre douleur qui suscite un grand élan d'empathie en votre encontre, je vois ma propre peur, peur de vivre la même situation que vous. Le choix ne nous est pas offert, mais si je l'avais, en poule mouillée égoïste je choisirais de partir en premier... Se decouvre t'on du courage ?

Écrit par : Gicerilla | 04/05/2012

Merci à toi Ariaga de ta réponse à tous .Prends le temps .Au plaisir de te retrouver .Amitiés .H

Écrit par : Hécate | 04/05/2012

Chère Ariaga,
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Ici, quand la vie devient la mort, les larmes pleurent.
Là, quand la mort devient la vie, la joie éclate.

Avec toute ma tendre compassion, Jack the poétiste

Écrit par : © Jack the poétiste | 04/05/2012

Je passe...et t'embrasse, tu sais bien...

Écrit par : le Pierrot | 05/05/2012

Où la chaine nous entraine t elle , elle ne nous bride pas mais démultiplie nos efforts, elle se tend et nous avec , j'ai envie d'être très doux avec toi quand tu appelles ces souvenirs mais surtout te remercier d'être toi et si franche et directe.

Écrit par : Thierry | 05/05/2012

Petit coucou Ariaga, heureuse de te sentir aller mieux ! Les beaux jours arrivent et la joie qui va avec de voir le soleil illuminer nos maisons et nos coeurs. Bises

Écrit par : danae | 05/05/2012

Bonjour,
chère Ariaga, ici le soleil pointe son nez,
on ne l'attendait pas,
une pensée pour toi ce matin,
je t'embrasse, prends soin de toi

Écrit par : Virginie | 05/05/2012

Ariaga c'est très beau ce que tu dis. Je t'embrasse.

Écrit par : la Mère Castor | 05/05/2012

Il est des anniversaires qui font mal : le 16 avril était l'anniversaire de mon père (Georges) et aussi celui du jour où il est décédé. Le 16 avril c'est aussi l'anniversaire de mon mari qui est toujours là, à mes côtés. Le 16 avril c'est aussi l'anniversaire de la mort du frère de mon grand père paternel, il s'appelait Georges, il est mort pendant la guerre 14-18 ! Je pense que la douleur s'atténue si on arrive à mettre des images neuves, celles de sa vie de tous les jours, empilées sur les souvenirs. Encore faut-il que ces images neuves soient belles ! Bon courage à toi !

Écrit par : elisabeth | 05/05/2012

J'ai lu...Je t'embrasse

Écrit par : *MeL* | 05/05/2012

Que sont nos moteurs, nos mobiles, moyeux, moyens, qu'est ce qui nous meut, nous émeut, les émeus beuhhh, connectés nous trouvons du plaisir à ressentir une partie de l'effort partagée, de cette communication bouclée
nous ne sommes pas obligés de tourner en rond, ni de pointer systématiquement des directions, laissons nous aller, le bonheur n'est pas sur le cadre mais dans le cadre, dans une participation où nous faisons corps et autre chose qu'un élément de décor nous animons de nos intentions l'image.

Écrit par : Thierry | 06/05/2012

Bonjour chère Ariaga,
Notre vie est émaillée de jours anniversaire, bons ou moins bons ...
En lisant tous les commentaires laissés par tes amis fidèles, je vois que je ne pourrai rien exprimer mieux qu'eux, seulement te dire qu'il faut toucher le fond de la douleur pour mieux remonter au grand soleil, j'ai connu des jours affreux et puis, miraculeusement, en me laissant porter, me suis sentie tellement mieux ! Le lâcher prise est bénéfique, mais je crois te l'avoir écrit déjà.
Je t'embrasse ! je prends mon vélo et t'accompagne de tout mon coeur.

Écrit par : pseud | 06/05/2012

@ ARIAGA À TOUS, je suis vraiment touchée par les "amis fidèles" comme le dit Pseud, qui ont mis des petits mots sur ce texte. Maintenant il faut tourner la page, avancer sur le chemin, et Mardi je publierai une note pour expliquer, tel que je le ressens, comment je vois l'évolution du blog. Je vous embrasse tous.

Écrit par : ariaga | 06/05/2012

Bon dimanche et à bientôt chère Ariaga . Amitiés .

Écrit par : Hécate | 06/05/2012

Oui les mots sont inutiles parfois...

Un baiser je dépose

Écrit par : Lmvie | 07/05/2012

Ni irritée, ni déçue. Inquiète face à ton doute qui étouffe ta lumière. C'est passager, qu'il se rassure, et tu vas l'aider dans l'envie retrouvée...

Écrit par : Vieux marmot | 07/05/2012

Ariaga, c'est au mieux de ta forme que nous t'aimons et pour cela il faut que tu prennes soin de toi !
J'ai hâte de lire ce que tu as à partager avec nous aujourd'hui.
A bientôt donc, je t'AMBR'asse !

Écrit par : ambreneige | 08/05/2012

C'est tellement beau, profond et émouvant ce que tu as écrit Ariaga ... Je me laisse porter comme si derrière ton petit vélo ...

Heureuse de te relire ...

Écrit par : Servanne-V | 08/05/2012

@ ARIAGA À TOUS, je vous lis avec beaucoup d'émotion ...

Écrit par : ariaga | 08/05/2012

Oh, Ariaga, 2 ans déjà ...
Je pense bien souvent à toi, je dirais même que tu es au quotidien à mes côtés ;-))
Je t'embrasse doucement
Michèle

Écrit par : Kaïkan | 13/05/2012

Coucou
Beau partage constructif ..
Bonne journée

Écrit par : canelle56 | 24/05/2012

Je n'ai pas été là le 28 Avril, et aujourd'hui je lis ton message avec émotion, et un regret de ne pas l'avoir vu avant, moi pour qui le corbeau a si souvent chanté.

Je suis heureuse, en ayant lu tes textes en sens inverse, de savoir que le vélo pédale bien sur son bout de chemin.

Toutes mes pensées.

Écrit par : Pimprenelle | 02/06/2012

@ Pimprenelle , je te remercie pour tous tes commentaires qui m'ont touchée. Je t'embrasse.

Écrit par : ariaga | 03/06/2012

Regarde les méfaits de cette voûte céleste,
Et vois ce monde vide...puisque les amis sont partis.
Autant que tu le peux, vis un moment pour toi-même;
Ne goûtes qu'au présent...le passé à l'odeur des morts.

O. Kayyâm

Une bonne soirée...

Écrit par : aiolos | 07/06/2012