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09/02/2015

Respirer, quelle merveille!

spiritualité,philosophie,alchimie,santé,nature,écriture

Il y a eu le premier souffle quand l'enfant respire hors du ventre de sa mère, il y aura le dernier souffle avec lequel la vie s'échappera. Entre les deux je respire car il m'est impossible de survivre sans respirer. Je peux rester assez longtemps sans manger, quelques jours sans boire ou sans dormir mais sans l'inspir et l'expir je meurs en quelques minutes. C'est pourquoi je dois remercier pour chaque nouvelle respiration qui me permet de continuer à cheminer sur la voie des transmutations .

Ariaga

 

Commentaires

ARIAGA À TOUS, mon mac fixe va s'absenter demain pour trois jours. Il va se faire toiletter et pendant ce temps je n'aurai qu'un vieux portable "à bout de souffle" (C'est pour aller avec la note!). Je tenterai de ramer mais ne vous étonnez pas si je suis peu présente ...

Écrit par : Ariaga | 09/02/2015

même les mac ont besoin de respirer... Bises poissonneuses de l'Hôtel du Nord... :)

Écrit par : Arletty | 09/02/2015

Un mac qui va se faire beau, une future galérienne de l’informe à tics... Va-t-on parler ici des gens de sac et de corde ? :-)

Écrit par : Amezeg | 09/02/2015

...de sacs à air naturels et de cordes vocales vibrant au souffle des dits sacs, bien sûr...

Écrit par : Amezeg | 09/02/2015

Remercier, serait-il être conscient de ?
Amitié

Écrit par : Miche | 10/02/2015

Ramer n'empêche pas de "la ramener" à condition d'avoir la dame de nage bien occupée. S'il n'y avait pas de nœuds ce ne serait pas la vie non plus,pas que des nœuds de vipères...au point de s'en éloigner. La déesse aux serpents minoenne n'a rien minoré qu'il ne faille m'ignorer, et puis cela figure les contorsions dont il faut faire preuve. Alors à tous les sacque boutiers pas routiniers qui s'arc-boutent , ni sacs à vent ni sacs à vin , pas boutiquiers nous souhaitons un doux zéphyr.

Écrit par : Thierry | 10/02/2015

Voilà bien un sujet qui m'intéresse en tant que prof de yoga. La respiration, c'est la vie ! Et faire des séquences de respiration consciente , c'est encore mieux !
La respiration est un moyen de communication puissant, communication avec les autres mais aussi communication avec les plans invisibles et le cosmos.
C'est un puissant outil de régénération. Tous les jours je fais des exercices respiratoires. De nombreuses techniques sont proposées.....Je peux être intarissable sur le sujet !

Écrit par : Daniel | 10/02/2015

@ Daniel, je profite du petit moment avant que l'on vienne chercher mon ordi pour répondre à quelques commentaires et à toi en particulier. Je veux juste te dire ne te gêne pas pour parler ici de ce sujet que je trouve, moi aussi essentiel.

Écrit par : Ariaga | 10/02/2015

@ Arletty, je t'ai reconnue sous ton masque et je te trouve assez coquine !

Écrit par : Ariaga | 10/02/2015

@ Amezeg, grand sourire ...

Écrit par : Ariaga | 10/02/2015

@ Thierry, chacun de tes mots demande à être dénoué et tressé !

Écrit par : Ariaga | 10/02/2015

La tresse n'est jamais loin de la détresse, avec les feux en prime, pour celui qu'on brime. La Tess d'Uberville n'est pas l'altesse serrée ni cime! Avec Lucien de ruban pré on se sent bucolique plus que Bucovine. Les nœuds est gordien ou il n'est pas mais il est aussi comme dans les quipus (ça ne veut pas dire qu'ils sente mauvais dans les sentes andines) un gardien de secrets et de messages célestes (c'est leste l'altiplano et les alpages quand on veut être à la page) .

Écrit par : THierry | 10/02/2015

Bonjour Ariaga, Cela me fait plaisir de te retrouver en pleine source d'INSPIRATION et cela fait tant de bien ! Je t'embrasse

Écrit par : danae | 10/02/2015

La respiration, une philosophie de la vie.
"On n’a pas besoin de mémoire, c’est une chose qui surgit de l’intérieur, ça vient tout seul."

Ici : 1, puis 2,3,4,5,6
https://www.youtube.com/watch?v=9O9GiywTUPE&list=PLE6kVVw7RSN1q9t3Cm0BughZi3s1dTvp2#t=268

Écrit par : Maria-D | 10/02/2015

Ah oui, respirer..avec son corps et son âme.. ce n'est pas si facile que ça de libérer ses chakras.
cassiopee.binhoster.com

Écrit par : Sedna | 11/02/2015

On ne pense à ce miracle que lorsqu'on en est plus ou moins privé, ce qui m'est arrivé maintes fois car j'ai souvent eu des pathologies aux poumons... ce qui est logique, finalement, quant on connait un peu ma vie...
D'une manière générale, s'émerveille-t-on suffisamment de ce que la Vie nous dispense lorsqu'on le possède? Je crois plutôt qu'on ne le réalise que lorsqu'on ne l'a plus ..
Bisous, belle amie respirante :-)

Écrit par : _Petit Sucre_ | 11/02/2015

Bonjour chère Ariaga, respirer me fait tousser à fendre l'âme, eh! oui...touchée par la grippe, après des mois de mal au pied, ce n'est...pas le pied !!! :)
Le kiné me fait des exercices respiratoires aussi quelques fois.
Amitiés

Écrit par : Hécate | 11/02/2015

Est ce pire de mal respirer et pourquoi met on des écarteurs de narines, pas un supplice mais un indice qu'il faut ouvrir tout grands les naseaux pour ne pas finir naze une compétition. Certains manquent d'air et d'autres pas et c'est tout le paradoxe figuré ou propre.
L'inspiration n'est pas qu'une bonne dose d'air qui passe par les voies nasales et se réchauffe (le nez interne est un système remarquable d'échange de chaleur) sinon par la bouche il est clair que la morsure du froid entraine bien vite la bronchite, quand ce n'est pas pire encore.

Écrit par : Thierry | 11/02/2015

Merci Ariaga de nous ramener à l'essentiel en quelques mots...

Thierry,
J'adore tes proses libres...

Écrit par : Jean Bissur | 12/02/2015

Merci jean de tes encouragements, mais je n'y suis pour rien, ou pas grand chose, le grand œuvre s'accomplit dans l'ombre, je ne sais d'où ces mots affluent et confluent, je sais seulement qu"Ariaga a le don de stimuler quelques cellules de matière grise, des cellules qui s'activent parfois alors sous sa lumière, elle qui montre le chemin, ensuite ça s’enchaine, enfin ça libère, c'est presque de l'écriture automatique, sauf que ça n'en est pas car ça correspond à des pensées profondes dont le jaillissement dans un tressaillement, parfois un déraillement, sont souvent de l'autodérision face à la prétention de certains, autour de moi, pas ici, et ce partage qui peut être dans la rage (dedans) doit sortir pour exorciser tous mes démons. La mort de mon chien Satan, le seigneur du château du diable fut une de ces occasions récentes.

Je suis embarrassant (peut être rasant) parfois car j'ai une sale habitude de m'étendre et d'occuper l'espace, n'ayant pas encore eu le courage d'ouvrir mon blogue, je squatte quelques blogs amis bienveillants autour de la poésie et des images, un jour viendra, quand la vie sera moins prenante et trépidante, d'ici là je poser des commentaires, oh pas comme des banderilles pour faire sortir des humeurs uniquement, comme des purges ou des saignées pour écouler le pus de la peur et de l'angoisse qui me tenaille si souvent.

Mes amis qui offrez de vrais espace de liberté, de franchise, pourvu que le courage et la patience soient de notre côté vous ne savez quels cadeaux et bonheurs vous nous faites, c'est merveille et prodige , que dis je, c'est miraculeux et jamais je ne me suis plaint que la pêche soit mauvaise. Des sujets de réflexion pour l'intellect, même profane, que demander de plus, quitte à ne pas tout mélanger et ne pas donner dans la complaisance et la connivence systématique, homme franc et loyal mes amis savent toujours ce que je pense, dussais-je leur déplaire!

Écrit par : Thierry | 13/02/2015

@ ARIAGA À TOUS, ça y est mon cher ordinateur est revenu à la maison, tout fringuant. Lire vos commentaires, aller en visite, tenter de mettre quelques mots sur mes cogitations matinales, du travail perspective !

Écrit par : Ariaga | 13/02/2015

Bonjour Ariaga...ton ordinateur revient de voyage ,il a plein de choses à raconter !!!!
Amitiés

Écrit par : Hécate | 13/02/2015

Comme disait le président de l'association d'handicapés où j'ai travaillé pendant 15 ans : "les pauvres malades et handicapés qui n'ont presque rien pour vivre, n'ont plus que l'air qu'ils respirent pour vivre". Bon week end Ariaga.

Écrit par : elisabeth | 13/02/2015

@ Danae, je viens de te dire chez toi, un endroit où je me saoule de voyages, combien j'aime les moments de partages sur nos blogs. Toutes les réflexions que je lis dans les commentaires sont stimulantes même si, parfois, je réponds brièvement. Je crois même que, plus je suis intéressée, plus j'ai envie de méditer en silence !

Écrit par : Ariaga | 13/02/2015

@ Danae, je viens de te dire chez toi, un endroit où je me saoule de voyages, combien j'aime les moments de partages sur nos blogs. Toutes les réflexions que je lis dans les commentaires sont stimulantes même si, parfois, je réponds brièvement. Je crois même que, plus je suis intéressée, plus j'ai envie de méditer en silence !

Écrit par : Ariaga | 13/02/2015

@ Maria-D, en effet, tant que nous sommes vivants nous sommes branchés sur le souffle de la Nature. Ensuite, nous ne savons pas mais je pense que nous sommes branchés sur un souffle encore plus grand, le souffle Cosmique.

Écrit par : Ariaga | 13/02/2015

Oui Ariaga, c'est un plaisir ce partage sur nos blogs. Chez l'une on respire, chez l'autre on voyage, chez une autre on admire la nature ! Quoi de mieux pour s'évader du quotidien. Je t'embrasse, prends soin de toi.

Écrit par : danae | 13/02/2015

@ Sedna, oui, tout l'être respire.

Écrit par : Ariaga | 13/02/2015

@ Petit sucre, comme tu as raison ! On considère les choses aussi naturelles que de respirer comme sans grande importance. Il faut avoir des difficultés pour se rendre compte du cadeau ...

Écrit par : Ariaga | 13/02/2015

@ Hécate, tes textes poétiques m'impressionnent.

Écrit par : Ariaga | 13/02/2015

J'aspire à naître à l'existence, alors que Je-Suis Celui qui ne naît pas...J'expire mon dernier souffle alors que Je ne meurs pas...Je-Suis la Vie, et je vis la mort...La sur-vie est au-delà de la mort en ne mourant pas de la mort... Et c'est une question de respiration....Mais d'une double respiration d'au-delà des tombes...

" Il fit couler d'un seul mouvement les forces humaines et les choses divines " disaient les Rishis dans le Véda.

Écrit par : Icare | 13/02/2015

@ Thierry, alors continue à te laisser porter par le flot des pensées qui sont comme des poussières d’étoiles.

Écrit par : Ariaga | 14/02/2015

@ Jean Bissur, dans essentiel il y a essence et les essences sont des concentrés. Moi aussi j'apprécie Thierry et ses phases inspirées.

Écrit par : Ariaga | 14/02/2015

@ Élisabeth, très belle phrase, je l'inscrit sur mon petit carnet.

Écrit par : Ariaga | 14/02/2015

@ Icare, une citation qui pousse à la méditation, merci.

Écrit par : Ariaga | 14/02/2015

Merci Ariaga de tes encouragements , incitations .
Oui il est certain que depuis longtemps déjà je me suis fait des nœuds au cerveaux, mais pas uniquement.

Comme disait Coluche,la coqueluche de notre époque (e et pas le coq louche que voulait en faire certains) , en parlant des boyaux de la tête , il n'aurait su si bien dire à la lumière des plus récentes études physiologiques qui montrent que nos tripes recèlent des trésors de neurones.

Alors oui plexus solaire et hypothalamus bien connectés mais séparés , il y a dans ces circonvolutions des questions rampantes (reptilien oblige) et sous les réalités corticales des verticales bien abruptes à considérer.

Progressant pas à pas comme sur les parois auxquelles je m'exposais rarement, guettant le surplomb (pas fondu) d'où la difficulté ressort avec plus d'acuité, j'évite la cuite, l'eussiez vous cru pour conserver à mes raisonnements un semblant de sérieux, parfois même de séreux, tellement le sérum de vérité me tenaille.

Oh ce n'est pas de la grenaille mais je me suis mis du plomb (dans la tête uniquement) pas question de mes lester pour faire le ludion et avec une vessie natatoire (c'est gonflé mais je ne le prend pas pour une lanterne) me suis lanterné durablement, enfermé dans un tissu de contradictions ( c'est mieux comme contre addiction) qui n'en affinaient pas moins la diction aux moments forts (en marc de café).

Mais voilà que mes travers habituels me reprennent, me faisant en chemin arpenter des chemins de traverse, pas sur des rails, non pour éviter les effets du ballast quand on a le bas leste (ême de contention) ce n'est pas que la folie nous guette, tout au plus l'affolement parfois de voir et comprendre les difficultés du monde et de se sentir si inutiles et nuls ( mais pas non avenues).

Alors sur ces voies nos voix peuvent se poser pour faire rouler des paroles d'apaisement et de calme à nos proches, qui courent tous plus ou moins comme des lapins sur la lande. Se font poser des lapins (pas des collés) et s'énervent avant que de se débander avec toupet, s'il vous plait.

Lassant, saoulant mais vivant, viable et fiable, vérifiable, je ne m'oppose pas gratuitement par simple esprit de contradiction, et en cultivant à loisir le sens de la dérision.

Les espaces de liberté sont rares, les espèces sont en voie de disparition, alors jouissons comme il se peut et s'entend encore de ces moments rares qui nous livrent en pâture, exposons nos flancs et montrons nos plans, tirons les sur la comète.

Tu le sais Ariaga je travaille dans le domaine spatiale depuis plus de trente ans, ayant accompli se rêve d'enfant et réalisé cette promesse
sans missel.

Demi sel des étoiles, j'aime à en parsemer mon ciel de chambre, ouvrir tout grand la voute étoilée sur le merveilleux blog de jean jacques qui nous donne notre pain quotidien, en rations peu chiches et agite mon pois chiches, fortiche, mais de cette élévation, de cette recherche de verticalité il reste le vertige et la fascination , pourtant on saute les fascines comme d'autres les ruisseaux.

Gloire à mon grand père Gustave, le bien nommé, lui qui m'inspire tant de choses sans accroitre mon trouble, sauf en cette période ou flotte le rouble.

Merci, merci, merci non ce n'est pas seulement ce que disent les vaincus en se rendant (à l'évidence) mais quand mes mots évident ma pauvre vie et dévident sans fin ces bobines de souvenir plus ou moins vertueux, il y a au moins une tentative d'explication, jamais d'auto justification (sinon bonjour la crucifixion).

Écrit par : Thierry | 14/02/2015

@ J'ai compris, c'est dans l’espace que tu trouves toutes ces idées qui errent en attendant que l'on les cueille !!!!

Écrit par : Ariaga | 14/02/2015

« ...jamais d'auto justification (sinon bonjour la crucifixion). », a dit Thierry.

La conquête de l’espace extérieur ne serait-elle pas parfois une sorte de cruz y fiction - en espagnol et en français – une croix de fiction pour ceux qui en attendent ce qu’elle ne peut peut-être pas donner, ou pas assez sûrement donner : la découverte de l’espace intérieur et celle de l’astre essentiel, la découverte de l’étoile qui nous guide vers naissance du dieu au sein de notre simple humanité ?
« Demandez, et l'on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira.
Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. »
Matthieu 7:7-11

Faut-il encore frapper à la bonne porte... celle qui ouvre sans doute sur l’espace intérieur.

Amezeg

Écrit par : Amezeg | 14/02/2015

Erratum : " ...la découverte de l’étoile qui nous guide vers LA naissance du dieu au sein de notre simple humanité ? "

Écrit par : Amezeg | 14/02/2015

Ah Amezeg heureusement que tu existes, je me sentirai si seul sans toi !
Ce Matthieu quand il ne faisait pas le pitre, il disait de belles choses, fortes et sensés (pas encensées) .

Écrit par : Thierry | 14/02/2015

Chère Ariaga , tu ne sais pas i bien dire, près d'Albi il y a un beau village perché sur un promontoire, c'est Cordes sur ciel, on y tisse d'étranges liens.

Il faut le voir, ses échoppes d'artisan et son jardins médiéval de simples, son labyrinthe dans les maïs.

Je n'y vais pas souvent mais s'ancrer dans la verticalité ne fait il pas trouver plus surement le chemin du ciel ? Quand a savoir avec le chanteur s'il n'y a qu'un cheveu sur la tête à Matthieu, moi je ne m'intéresse qu'à son auréole !

Écrit par : Thierry | 14/02/2015

« Y’a qu’un ch’veu sur la tête à Matthieu... »

Le sage évangéliste avait donc laissé tomber toutes les idées qui lui sortaient de la tête, sauf une qui faisait uniquement office d’antenne pour le relier au ciel...intérieur* ! (*ce qui est un aimable paradoxe)

Amezeg :-)

Écrit par : Amezeg | 14/02/2015

Et moi, Thierry, je me sentirais vraiment ignare si tu ne déversais ici généreusement quelques miettes de ta grande érudition assaisonnée d’humour que je picore voracement comme le poussin affamé que je suis, me jetant sans retenue sur la pitance du savoir... :-)

Écrit par : Amezeg | 14/02/2015

Le souffle est la musique de la vie...

Écrit par : Marie Minoza | 16/02/2015

@Marie Minoza, merci pour ce commentaire à la fois dense et poétique. Je n'ai pas réussi à comprendre comment faire pour laisser un commentaire sur ton blog.

Écrit par : Ariaga | 16/02/2015

Bon travail respiratoire. Je fais du hatha yoga et l'exercice du pranayama n'est pas tant que ça expliqué. Les bandhas en revanche sont détaillés mais n'expliquent rien sur l'installation des postures. La semaine passée ma prof de yoga habituelle partie au Népal fait que nous avons eu une remplaçante. Le cours était sobre et entièrement basé sur l'inspir et l'expir. Cela m'a fait le plus grand bien au point de vider un peu les difficultés préconçues sur des postures. En me focalisant un temps sur ma respiration, j'étais moins 'spirituelle' mais le chemin pour y parvenir plus sûr que jamais. J'ai adoré ! Du coup ton article tombe à point pour exprimer une vérité intemporelle : les noeuds musculaires se dénouent comme les noeuds de marins, avec application et constance, sans états d'âme. Les bonnes pensées présentes restent diffuses.

Écrit par : Aurélie | 19/02/2015