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21/10/2017

Des idées comme elles viennent ...

écriture,philosophie,spiritualité,pensées,psychologie,photo,ariaga

Parmi les tiroirs où sont rangés mes mots, celui du bas n'a pas de fond.

***

Quand on a longtemps voyagé pour se trouver on est parfois surpris par le paysage qui se dessine à l'arrivée.

***

Depuis l'enfance, nous nous sommes entraînés à mentir pour faire plaisir, pour être aimables et aimés. Il est difficile de passer du "Tu dois" au "Je veux".

***

Apprendre à murir et à mourir est le travail de toute une vie ...

Ariaga

Commentaires

De belles pensées, Ariaga. J'aime particulièrement la dernière....Quand on pense qu'on vient sur terre pour mourir un jour !!

Écrit par : Daniel | 21/10/2017

peut-on apprendre à mourir ?

Écrit par : ulysse | 21/10/2017

Elles viennent bien à nous pas comme des anneaux sur une tringle qui lèvent lentement le voile quand la voile parait.

les mots tombent ils avec nous comme dans une chausse trappe, comme si c'était affaire de bas fonds ou de cul de basse fosse, pour marquer la gravité du moment, la pondération du temps, la lourdeur de l'existence ?

surimpression, surimposition, saturation sans jamais de fixité, de fixe idée sur un océan d'expériences

à la socialisation rampante des êtres aimables où on accorde le on avec le nous

finitude n'est pas habitude mais hiatus profond

Écrit par : Thierry | 21/10/2017

J'aime tes pensées, Ariaga. Elles sont pleines de sagesse et de vérité.

Écrit par : Aloysia | 21/10/2017

"Apprendre à mourir": une pensée que je n'ai pas encore développée pour mon compte personnel. Quand j'en serais là, j'aurais fait un grand pas vers la quiétude.

Écrit par : Sedna | 22/10/2017

Comme autant de vaisseaux qui convergent
au grand soleil de l’ostensoir
j'ai longtemps regardé depuis la berge
à m'en bruler les paupières
reculant l'horizon
au delà du point où naissent les soupçons
j'ai récupéré les aussières
comme on largue les amarres
et si avec les idées encore je me bagarre
elles ne sont pas toutes reçues
ni même comprises
c'est que de la traversée la déprise
est tout sauf évidente
quand reste au fond ardente
la soif de connaissance

Écrit par : Thierry | 22/10/2017

Dans le murmure du temps
où rien n'est jamais identique
je ne me vois fanatique
là où le fanal attique
encore d'actualité
sans référence antique
luit au lointain
sans miroir
et le dévidoir
de mes pensées
accumulées
jamais ne cesse
de tourner

Écrit par : Thierry | 22/10/2017

Oui, oui à tout, oui c'est beau, oui
Merci chère Ariaga

Écrit par : Miche | 22/10/2017

que çà donne envie de repondre mais je suis un peu vide d'une journée d'écriture et de peinture de tableaux
alors j'y reviendrai car elles sont pertinantes tes belles phrases en attendant je t'embrasse très fort et je t'adore

bravo

j'aime la justesse

Écrit par : lamangou | 22/10/2017

@ Daniel, La mort n'est qu'un passage vers une autre dimension du Tout.

Écrit par : Ariaga | 24/10/2017

@ Ulysse, certainement mais pour cet apprentissage il faut toute une vie !

Écrit par : Ariaga | 24/10/2017

@ Thierry, merci pour tes commentaires qui enrichissent si fidèlement ce blog.

Écrit par : Ariaga | 24/10/2017

@ Aloysia, ne me flatte pas trop cela va faire grossir mon Égo ....

Écrit par : Ariaga | 24/10/2017

@ Miche, pour ce qui est de la pensée je ne t'arrive pas à la cheville car tu es beaucoup productive que moi.

Écrit par : Ariaga | 24/10/2017

J'aime la première par sa poésie!

Écrit par : alezandro | 24/10/2017

En bon vaseux communicant je me dis que les idées viennent d'un réservoir qui se vide et je plains ceux qui en manquent mais il est vrai que cette génération n'a rien de spontanée et que beaucoup mijote depuis longtemps dans les recoins de nos cerveaux pas si lents que ça et ce n'est pas à la force d'un palan mais bien au pas lent de nos vies que s'élaborent certains élixirs qui forcent le soupir.

Je reprends mon souffle rauque et me méfie comme pasteur de ce qui est invisible ou qu'on ne sait pas voir ou regarder, on peut le garder précieusement au fond de soi mais pour ce qui est de le montrer et de forcer le chemin il y a tellement de distance avant d'assumer ce je et tordre le cou aux jeux qu'on nous a obligé à jouer depuis si longtemps.

Je suis celui qui suit, je suis qui je suis, bref je suis
et tant pis pour les cheminée et leur suie ou bien si j'essuie les plâtres

Écrit par : Thierry | 25/10/2017

@ Alezandro, merci de voir de la poésie dans cette petite phrase ...

Écrit par : Ariaga | 26/10/2017

@ Lamangou, fais du bon travail, et merci pour ta fidélité.

Écrit par : Ariaga | 26/10/2017

Bonjour Ariaga,

Pour éviter l'apprentissage du mensonge aux enfants, leur apprendre l'importance du OUI et du NON....et aux parents l'acceptation de leurs choix...

Le OUI, ce mot prononcé en baissant les yeux, ce mot employé par lâcheté, parce-que l'on ose pas...
Le NON, ce mot prononcé le regard franc, direct,ce mot employé sans la crainte des représailles...

En toute sérénité, douces pensées,
Michèle

Écrit par : michèle | 28/10/2017

Je ne sais pas quelle citation je préfère mais elles me parlent toutes. Bon dimanche Ariaga.

Écrit par : elisabeth | 29/10/2017

Une petite halte amicale par ici... bonne soirée Ariaga

Écrit par : Joëlle | 31/10/2017

Peut -on apprendre à mourir???

Écrit par : Anne | 02/11/2017

@ Michèle, j'aime beaucoup ton commentaire.

Écrit par : Ariaga | 02/11/2017

@ élisabeth, ce ne sont pas des citations, mais l'essentiel est qu'elles te parlent.

Écrit par : Ariaga | 02/11/2017

@ Joëlle, merci pour cette amitié.

Écrit par : Ariaga | 02/11/2017

@ Anne, Ce n'est pas facile, comme je l'ai déjà dit, c'est le travail de toute une vie. Travail obligatoire car on ne peut échapper à l'examen final.

Écrit par : Ariaga | 02/11/2017

au grand soleil du large les paravents atténuent les rayons
pourtant le hâle est haut dans le branle bas
pas de combat à main nue avec l'immensité
on avance au sextant sans faire l'amour à l'océan

Écrit par : Thierry | 02/11/2017

Très belles pensées Ariaga, merci, pour aujourd'hui je vais retenir "passer du tu dois au je veux", y'a du boulot !!!... Bises et doux week end à toi. brigitte

Écrit par : Plumes d Anges | 03/11/2017

Je reviens doucement visiter les blogues amis...
Amitié.

Écrit par : Louis-Paul | 05/11/2017

"Tu dois" = le tu qui tue

Écrit par : Maria-D | 09/11/2017

dans mon tiroir (livres) le mot maladie prend beaucoup de place
besos mon amie
tilk

Écrit par : tilk | 18/11/2017

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