Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« La langue des oiseaux | Page d'accueil | Poésies d'Ariaga déjà publiées sur le blog »

13/04/2007

L'Ami viendra t-il?

medium_DSC01693_3.jpg

Il faut parfois savoir,

témoin derrière la vitre, s'enfermer hors du temps,

écouter le silence,

pour que vienne s'asseoir, absence présence,

celui qu'on attendait, l'inexprimable Ami.

Commentaires

Et le plus souvent, c'est celui qu'on n'attendait pas...

Écrit par : Ray | 13/04/2007

O mon coeur éperdu ! Vers le Bien Aimé est un chemin venant de l’âme
O toi qui est égaré ! Il est un sentier secret mais visible
Les six directions sont effacées. Ne crains rien :
Au plus intime de ton être, se trouve le chemin vers le Bien Aimé.
Rûmi (Rubai’yat)

Écrit par : djaipi | 13/04/2007

Et de Sa voix silencieuse, l'Ami murmure sans cesse à nos oreilles sourdes qu'Il est présent depuis toujours...

Belle soirée - MARIE La Poétaniste

Écrit par : MARIE - La Poétaniste | 13/04/2007

à moins qu'il ne se soit noyé dans une soupe au poisson pulvérisé de rouille ,
accroché à une arrête fatale de mérou ou hypnotisé qu'il est par l'oeil sec d'une dorade, la bouilla baisse et l'esca bèche
quels joyeux drilles que ces lascars en croutons aillés
L

Écrit par : aloredelam | 13/04/2007

C'est très beau.

Écrit par : profdisaster | 13/04/2007

@ Ray mais l'amie ou l'amie qu'on attendait peut parfois vous apporter une belle surprise.

@ Djaipi c'est bien beau. Rûmi est vraiment un de mes mystique-poète préféré. Il donne une telle dimension à l'amour.

@ aloredelam, je me demande si un certain Lambi n'a pas un peu trop lambiné dans le pastis. Le résultat de cette macération pourrait peu-être passer au four de ma cuisine alchimique ?

Écrit par : ariaga | 13/04/2007

Pour ma part j'essaie (car c'est pas évident) de pratiquer le lâcher prise: j'attends une amie sans vraiement l'attendre.

Écrit par : lancelot | 14/04/2007

c'est pas faux

Écrit par : phyta | 14/04/2007

J'aime la simplicité de ton poème.
Merci amie.... d'âme de coeur...

Écrit par : mouniprema | 14/04/2007

Et qd il sera assis, la fenêtre entr'ouverte on pourra lui parler de l'ombre fraîche, et pour lui les murs n'auront pas des oreilles, mais un bouche ;-)

Écrit par : Lung Ta | 14/04/2007

hélas moi c 'est le pastis et les herbes de provence, d'après cette mauvaise langue d'ariaga , ce qui bien entendu est totallement faux , il est bien connu que je me nourris uniquement de poésie et que je ronge mes tubes secs
oh que je voudrais être arrosé par l'amitié
un petit orage me suffirait
pour me faire reverdir
lacher prise! j'aurai trop peur que le vent m'emporte et ne me rende plus
petite pluie viens arroser mes tendre pousse avant que je ne me transforme en rose des sables ou que les terre mites ne me transforment en statue de sel
un petit océan et la tempète de la passion me comblerait je laisse la fenêtre ouverte chaque soir pour que l'ami (e) me ravisse su ses cordes enchantées

Écrit par : aloredelam | 14/04/2007

Bonsoir Ariaga et vous tous,

L'Ami, l'ami d'un instant, l'ami d'hier, l'ami de toujours et l'ami demain.

Il n'est pas simple d'avoir un ami. Il fut un temps ou je disais : j'ai beaucoup de connaissances mais si j'avais au moins un ami. En fait mon problème est que j'avais tellement peur de moi et peur d'être déçue que sans m'en apercevoir je m'étais frabriquée une carapace.

Depuis j'ai sonné à une porte, ou on aprend à travailler sur soi-même et avec le silence dans un premier temps. C'est fou ce que l'on peut faire connaissance avec son "soi". Depuis bien sur certains évènements ont changé. Je sais ou je vais par ce que je sais qui je suis.

J'espère que tu comprendras ma pensée et je te souhaite qu'en travaillant dans ton silence et dans ta méditation beaucoup d'amis te reconnaitrons.

Bien à toi Ariaga et bonne soirée à tous

Marie Christine

Écrit par : Marie Christine | 14/04/2007

Toctoctoc ... puis je entrer ?
Tu m'attendais .. moi aussi.

Écrit par : Cile | 15/04/2007

@ Lancelot, preux chevalier, si tu veux une "amie" je te conseille au contraire de t'accrocher solidement. Tu as un grand coeur, je le vois à l'aide que tu apportes à certaines personnes en souffrance sur les blogs. Porte le en bandoulière et enfourche ton fier destrier.

@Mouniprema, tes mots me touchent toujours.

Lung-Ta asseyons nous sur un zafu et écoutons les murs nous chanter la grande symphonie de l'univers. Nous trouverons peut-être alors la note juste.

Aloredelam, tu es un poète comme je les aime et ton régime ne te rend pas sec. Fais bien attention à tes tendres pousses elles sont précieuses.

Marie christine, j'aime ta sensibilité elle touche car on la ressent par delà la barrière des mots.

Cile, ce n'est pas la peine de frapper, tu es déjà entrée.

Écrit par : ariaga | 16/04/2007

.
L'Ami viendra lorsque le compagnon sera parti...

Écrit par : exos | 17/04/2007