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« Nietzsche,Jung et la mort de Dieu | Page d'accueil | Questions 4 »

19/02/2012

Le fil de lumière

écriture,poésie,philosophie,art,poème,photo,inspiration

 

Ce n'est rien qu'un murmure ... du fleuve de l'esprit

un soupir d'écriture ...

mince fil de lumière ... tiré des failles obscures

tremblant à la frontière de la coupure ...

 

Et quand reviendra t-elle, enceinte et triomphante,

assoiffée d'aventure et de mots enlacés tissant la transparence ?

 Ariaga

 

Si ce petit poème vous laisse sur votre faim,  vous pouvez aller lire sur mon autre blog un texte intitulé : C.G.Jung, un rêve de mandala.

 

Commentaires

il est nourrissant !
puisse-t-il être enfantant

Écrit par : Frédéric | 19/02/2012

petit poème mandala en réponse :

Sa main repose dans sa main,
La barque, le lac font silence,
Sur l'eau un soleil danse !

amicalement,
Phil4

Écrit par : phil4 | 19/02/2012

C'est juste beau, qui donne envie de se jeter à l'eau...
Je t'embrasse fort ma belle Ariaga

Écrit par : Aslé | 19/02/2012

@ Frédéric, La grossesse commence aujourd'hui alors cela va prendre du temps.

Écrit par : ariaga | 19/02/2012

@ Phil 4, merci c'est un beau cadeau.

Écrit par : ariaga | 19/02/2012

@ Aslè, Princesse, ne vas surtout pas te noyer.

Écrit par : ariaga | 19/02/2012

Un soupir une exhalaison
sans raison ni saison
demande à prendre corps

Écrit par : jeandler | 19/02/2012

La lumière tremble mais ne se rompt point, elle est bien en toi, neuf mois penses-tu ? Je t'embrasse et trace un mandala dans le sable du bout de mon balai... Doux rêves...

Écrit par : joséphine | 19/02/2012

Il est beau, ce fil de lumière. Bravo !

Écrit par : naline | 20/02/2012

Juste un fil... mais quel fil !!!!! belle journée. Bises

Écrit par : patriarch | 20/02/2012

tisser la transparence...
j'aime beaucoup cette image !
lumineuse journée Ariaga

Écrit par : Virginie | 20/02/2012

Si c'est le fil qui nous relie, il est fragile ! Je t'embrasse Ariaga

Écrit par : danae | 20/02/2012

je m'effile, je m'effeuille
je me sinusoïde
pas troublé ni indisposé
et si je me cantonnais
à la sigmoïde
j'aurais une autre inflexion
une singularité
dans le droit fil
de ma pensée
mais la surface est agitée
inter-phase et lieu de rencontre
plus que de tranquillité
il y a de l'agitation dans l'eau
normal puisque le point triple
double les chances
adoubons ce qui a du bon
sans se mouiller j'ai rit
de voir le jerry sur ses pattes

Écrit par : Thierry | 20/02/2012

Soupirs et murmures sont aussi aventure.

Écrit par : la Mère Castor | 20/02/2012

@ Jeandler, très joli et cette idée de "prendre corps" à un petit côté réjouissant ...

Écrit par : ariaga | 20/02/2012

@ Joséphine, la reine du balai, je vois d'ici ton mandala même si il est tracé sur des sables infinis.

Écrit par : ariaga | 20/02/2012

@ Naline, merci de ta visite. J'ai été voir ton blog et j'aime beaucoup ta vision de la poésie.

Écrit par : ariaga | 20/02/2012

@ Patriarch, c'est le fil qui me relie à vous tous même si, à certains moments il se tend à rompre !

Écrit par : ariaga | 20/02/2012

Ariaga,

La réponse à la question m'est venue cette nuit :
Merveille !
Je sais que tu l'as reçue aussi,
Je suis heureux

Écrit par : phil4 | 20/02/2012

aussi ténu soit t il bien tenu
je m'accrochais en bonne fille d’Ariane
pour sortir de ce labyrinthe qui éreinte sauve
mais tout dépendait de la résistance de ce mince ombilic
qui me reliait au savoir de mes ancêtres
et puis il y avait Marianne
un buste et des valeurs
la chaleur d'un regard
et toujours ce fil
que je ne voulais pas lâcher des yeux
ne pas gâcher la suite
ne pas prendre la fuite
tout panthéiste que je fus
aurais je eu peur
de....Thoreau ?

Écrit par : Thierry | 20/02/2012

c’est un fil amant
qui ne me quitte
et prolonge l’instant

face à lui j’hésite
et aussi j’hérite
non de fardeaux incessants

pas plus que d’objets blessants
et quand il est incandescent
c’est qu’irradie le flux

et que l’interrupteur agit
pourrait-il de son brillant
Partager des portions

Écrit par : Thierry | 20/02/2012

Traité avec poésie (dans les deux écritures) ici et qui nous amène par ce trait d'union d’humour aux écrits de "Ma vie". (Si justement sous-titrée « Souvenirs, rêves et pensées »)Très réjouissante cette double note Ariaga.

Écrit par : Louis-Paul | 21/02/2012

On part vers où
On va vers qui
Mystère de la vie
Peut être riche ou sans un sou.
On avance sur le fil
Hésitant et fragile.
On enfonce des portes
Et le vent des tourments nous emporte.
On s’interroge, on s’inquiète
On n’est peu de chose
Chacun poursuit sa quête
Les roses sont à peine éclosent
Que déjà pointent les épines.
Le ciel est nuage
Le ciel est bleu
Instant heureux
Avant l’orage
Sur le chemin des incertitudes
Chaque jour est une aventure
La vie est une musique, un prélude
Dont les notes dans le ciel perdurent.
On part vers où
On va vers qui
Je n’en sais rien
Simplement je suis.
Je danse avec les loups
Et je rêve de beaux matins.

Écrit par : Daniel | 21/02/2012

@ Virginie, la transparence, c'est un peu comme les trous noirs qui ne sont pas aussi vide que l'on pense !

Écrit par : ariaga | 21/02/2012

@ Danae, les fils peuvent s'étirer et devenirs fins, fins, sans se casser. il y a des moments de la vie où on est relié aux autres par ce genre de fils.

Écrit par : ariaga | 21/02/2012

@ Thierry, tes textes m'intéressent toujours mais sur les derniers j'aime beaucoup celui sur le fil amant.

Écrit par : ariaga | 21/02/2012

@ La Mère Castor, pour partir à l'aventure j'ai trouvé sur ton blog un sac rempli de merveilleuses choses y compris des rêves ...

Écrit par : ariaga | 21/02/2012

Merci c'est encourageant et je fais de mon mieux parce que dès fois malgré la continuité des soins je perd un peu le fil et je m'emmêle les crayons, avec une jambe de valide je tressaute et je bafouille ma marche
tout est une question de degré et on ne m'a pas demandé d'escalader une pyramide, celle de Djoser ou d'un autre!

Écrit par : Thierry | 21/02/2012

Quand file la lumière....:)

Écrit par : Hécate | 21/02/2012

@ Phil 4, je me demande si les questions ne sont pas plus importantes que les réponses ...

Écrit par : ariaga | 22/02/2012

Louis- Paul, ce qui m'a réjouie, c'est d'aller faire un tour au carnaval sur ton blog.

Écrit par : ariaga | 22/02/2012

Daniel, merci pour cette belle poésie qui orne le Laboratoire.

Écrit par : ariaga | 22/02/2012

@ Hécate, quand file la lumière l'ombre se tricote.

Écrit par : ariaga | 22/02/2012

au début l'ocean etait plat, la planête etait ronde , les vagues n'avaient pas ete inventees; lors d'un petit dejeuner ,dieu fit tomber sa petite cuillere ,celle ci traversant les cieux arriva sur terre et tapa de la surface convexe le plat de l'eau.trouvant ce jeu amusant il en parla aux anges, angelots, angevins qui imiterent leur patron .les vagues etaient nées.puis ce fut la pétaudiere au paradis , il n'etait pas rare de voir tomber des louches et les cuisines celestes se depeuplaient en couverts.ST PIERRE le gardien du lieu fixa un jour par semaine pour ce jeu .Ce dernier en rangeant dans les armoires divines fit tomber les eclairs au chocolat reserves à dieu pour le dessert dominical: la foudre etait née.dieu n'etait pas content que ses friandises preferees aient disparues de l'armoire et il donna un coup de pied de colere sur le premier objet venu deplaçant ainsi les plaques tectoniques et inventant le tonnerre.à la belle saison il arrosa les fleurs des plates bandes et fit tomber l'eau sur terre en mouillant les jardinieres.le jour de son anniversaire les habitants celestes trinquerentà son eternité et lancerent les verres et glaçons dans l'atmosphere: faisant apparaitre la grêle.face à ces elements l'ocean se mit à avoir des vaguelettes , toujours tête en l'air il oublia un matin de fermer la porte du purgatoire et les vents arriverent,les vagues grossirent GROSSIRENT de dechirant sur les terres .alors tranquille heureux il alluma sa tete et regarda arte

Écrit par : lecracleur | 22/02/2012

C'est très beau !
J'aime à la fois la photo et le texte.

Écrit par : anne veillac | 23/02/2012

Ariaga,

Ayez confiance. Je crois que vous êtes maintenant prête pour une « Rencontre du 4e type ».. (au sens jungien de la quaternité). Parce que je crois qu'en rester au niveau des questions c'est demeurer, pour une femme, dans l'Animus (comme dirait Mme Von Franz). Cela va bien pendant un temps. Et puis un jour la Vie réagit. Elle demande de la façon le plus impérieuse une confrontation vivante, une mise en jeu de notre niveau de réponse à nos questions essentielles. D' une façon ou d'une autre. Car comme dit M. Jung, la réalisation se fait, d'une façon ou d'une autre.
J'aimerais dialoguer davantage avec vous sur votre blog, mais je crains un peu d 'ennuyer vos amis. Vous pouvez me faire un mail si vous voulez de plus longs développements. Comme vous voulez.

Très amicalement,

Phil4

Écrit par : phil4 | 23/02/2012

Chère Ariaga,

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Ici, c'est au fil de l'eau que tes mots viennent nous murmurer l'esprit du moment.

Là, je m'efforce de les suivre en m'insinuant dans leur sillage poétique.

Merci pour cet instant, avec toute ma tendre affection, Jack le poétiste

Écrit par : Jack le poétiste | 23/02/2012

@ Le cracleur, c'est le Potier fou qui a écrit cette poésie qui me réjouit par son talent et son humour un eu grinçant ...

Écrit par : ariaga | 23/02/2012

Ecriture filiforme, lumière du plein et du délié de la Lettre inspirée... Beau week-end chère Ariaga

Écrit par : Phène | 24/02/2012

Douceur de la vie ...

Écrit par : Bruno | 24/02/2012

Philomène ou phénomène, fil ou m’emmènes tu en dévidant je me rend compte de mon évolution sans retour malgré les tiraillements et les difficultés qui ne peuve occulter la métamorphose dans l(affliction et l'esprit ravagé par le doute , sans être dan la déroute

Écrit par : Thierry | 24/02/2012

je vais avoir besoin de votre soutien moral à tous, ceux qui arpentent ces lieux de providence; je suis au plus bat et défait
le processus de guérion est en panne pour le moment, je suis chez moi après avoir été renvoyé de la clinique où j'étais, pourtant je ne suis pas un monstre mais j'ai déplu et on m'a sanctionné par les libertés que je prenais, devenu incontrôlable et trop puissant à leur gout on m'a rogné les ailes et renvoyé à ma condition d'infirme en me prétendant maboul! ; je peux témoigner que je suis vif et sain de corps et d'esprit mais pas assez sain sans doute et pas un saint puisqu'on m'a diabolisé et bouc émissarisé!!!

Écrit par : Thierry | 24/02/2012

Je ne sais ce dont vous souffrez Thierry , une pensée vers vous .

Écrit par : Hécate | 24/02/2012

une pensée amie pour toi Thierry,

Écrit par : Virginie | 24/02/2012

@ Thierry, tu le sais tu as notre soutien moral. Je crois qu'il faut te poser et regarder en toi et autour de toi. Je suis certaine que tu as beaucoup plus de forces que tu ne le penses pour assumer ta situation. Et surtout tu dois t'aimer tel que tu es. Mes pensées sont avec toi.

Écrit par : ariaga | 24/02/2012

Pensée sincère, ami Thierry. De tout Coeur avec toi dans ton épreuve

Écrit par : Phène | 24/02/2012

@ Phil4, Mais non, vous n'ennuyez personne, le laboratoire est une grande famille et ce que vous avez à dire nous intéresse tous.

Écrit par : ariaga | 24/02/2012

@ Jack le poétiste. ton sillage est brillant. Hier, j'ai été voir ta nouvelle présentation de blog. Cela valait le coup de faire des travaux nouvelle présentation de blog. C'est splendide et un véritable écrin pour tes mots. su tu pouvais la garder un moment ...

Écrit par : ariaga | 24/02/2012

@ Bruno, "douceur de la vie", tu sais il n'y a pas de lumière sans ombre ...

Écrit par : ariaga | 24/02/2012

Une pensée pour ceux qui ont besoin de réconfort, comme Thierry et aussi ma chère Ariaga. Je vous souhaite des jours meilleurs qui viendront, j'en suis sûre. Amitiés

Écrit par : danae | 24/02/2012

Ariaga,

Merci de me donner la possibilité de m'exprimer parmi vous.

D'abord je rappelle que j'assume ce que je dis et écris, que cela n'engage que moi, et que bien sûr je peux tout à fait me tromper. Nous savons très bien que le dialogue sur internet est idéal pour toutes sortes de projections. Cependant lorsque je suis emmené moi même dans un transfert puissant, c'est qu'il y a de bonnes raisons, et qu'il y a intérêt pour moi à les identifier. C'est le cas en ce moment, et j''ai envie de partager ces raisons avec vous :

J'ai un peu lu ce que vous écrivez sur vos blogs et vous considère, si vous êtes bien une femme, comme la meilleure continuatrice de langue française actuelle de la psychologie jungienne. Vous savez rendre compréhensible facilement des concepts relativement complexes, et cela pour moi signe la compétence. La compétence intellectuelle. Mais je crois que si l'accomplissement de la fonction pensée justifie pleinement du point de vue humain, l'exercice par exemple d'une belle activité de psychologue de ville, la publication de livres, etc, elle ne suffit pas à elle seule pour nous réaliser pleinement. Le développement des fonctions secondaire (dans mon cas intuition et sensation) est un enrichissement considérable, mais qui finit aussi un jour par trouver ses limites.

Alors comment aller plus loin ?

L'émergence de la quatrième fonction demande un travail des plus ardu. L'alchimie en décrit les étapes. Je vous propose d'accepter d'imaginer qu'en ce qui me concerne, le travail de retrait des projection de mon ombre (donc la Nigredo), est terminé. Alors arrive l’Albédo, ou l'on réalise avec joie que l'on n'est plus seul, qu'en fait on ne l'avait jamais été, et où s'ouvre un point de vue qui porte au delà de notre seule condition individuelle. C'est vraiment très bien, mais entre temps une vie peut s'être passée. C'est ainsi que je me retrouve à 51 ans très isolé, avec une forte impression d'urgence à profiter des années qui me restent pour exprimer mon sentiment.

Et la Rubédo ?

C'est là le problème qui crée l'urgence. Je crois que pour achever l'Oeuvre il faut être deux. La Pierre veut croître et se multiplier. Une Soror est indispensable au vieux Frater que je suis car, s'il peut être possible à une femme ou a un homme de se débrouiller seuls pour élever un enfant, on en connaît le résultat. La Pierre, pour être ici et maintenant, demande une coïncidence des opposés humains, cela pour mettre au monde Amour. Ainsi Eros se réunit à Psyché, Martin à Antoinette... et cet amour « quaternaire » s'intègre dans un Tout plus vaste. Je suis en ce moment assez bouleversé de découvrir à quel point la Pierre se soucie de Ses Enfants perdus, désire les retrouver, pour leur donner Sa Vie.

Donc de ce point de vue, c'est bien la Rubédo qui porte à l'accomplissement le travail du psychologue. C'est la raison pour laquelle, me fiant à mon intuition, je m'adresse à vous, et vous remercie de me laisser user de votre blog pour lancer un appel à toutes mes sœurs que cette question interpelle aussi

Très amicalement,

Phil4

Écrit par : phil4 | 24/02/2012

J'aime la grossesse de tes mots, Ariaga !

Tissons nos espérances ...
Heureuse de te retrouver aussi ...

à bientôt

Écrit par : Veronica | 25/02/2012

Merci à vous de votre soutien, même chancelant, votre fil et ce lien constitutif me soutiennent et je vais trouver la voie médiane comme avec un liane et je sortirai de tout ça différent et plus fort, les épreuve sont là pour ça non ? bises à toi ariaga et grand salut à tous qui nous faites grandir et progresser, surtout des béotiens comme moi qui tâtonne et ânonne et marmonne, pas marmoréen cherchant les bonne questions et les voix du salut!

Écrit par : Thierry | 25/02/2012

le fils de la lumière est un riche héritier
il a su ailleurs que dans un bénitier
aller puiser des ressources profondes
entre brins et torons il a parfaitement filé
et s'il se prête à des boucles bien rondes
c'est pour ordonner une masse féconde
puis il n'a pas seulement défié
tous les géants du cru en file indienne
il ne peut que bobiner la bobèche
et donner seul de la mèche
au fil de l'un et des ans passés
il loue et noue dans la crypte
le voilà le devin d’Égypte
que rien jamais ne retienne
pour l'éternité des temps

Écrit par : Thierry | 25/02/2012

Chère Ariaga,
---------------------------

Ici, garder la chose dans le longtemps n'est pas évident, car dans ce long espace de temps, il se dissimule un autre temps qui aime demeurer au passé de l'instant.

Là, je suis déjà dans un autre temps qui, je sais, ne durera pas longtemps. Alors, je me suis habitué à voyager dans le temps pour vivre l'instant.

Avec toute ma tendre sympathie, Jack le poétiste

Écrit par : Jack le poétiste | 26/02/2012

un fil ça tient à quoi
ça tient combien
ça vaut quoi
ça relie comment

Écrit par : Thierry | 26/02/2012

@ Phil4 en effet, votre jugement sur ma compétence jungienne n'engage que vous !
Je comprends votre solitude, il est difficile de trouver un autre être avec lequel on peut accomplir la mystérieuse conjonction des contraires dont par le si bien Jung. J'ai eu la chance d'avoir un "frater", décédé il y a bientôt deux ans, avec lequel cela s'est accompli. C'est un cadeau du ciel et même si il a souffert pendant plus de vingt ans de terribles handicaps je peux dire que si c'était à refaire je recommencerais. Je peux aussi vous dire que cette relation est unique et demeure au delà de la mort.
Je pense que vous aurez été lu et je vous conseille aussi d'aller sur le forum de Jean Bissur (dans mes liens) où j'ai eu le sentiment qu'il y avait de belles personnes.
Merci pour la confiance.

Écrit par : ariaga | 27/02/2012

@ Danae, tu es une perle, je "reviens" bientôt.

Écrit par : ariaga | 27/02/2012

@ Veronica, on se trouve, on se perd un peu, on a le temps, la vie déborde, c'est cela les blogs ...

Écrit par : ariaga | 27/02/2012

@ Thierry, si tu as pu trouver ici un peu de réconfort, tant mieux. Je vois, sur les commentaires de la note suivante que ta plume est bien vivante et c'est l'essentiel. Tu sais bien que tu sers toujours "tourmenté", il y a des destins ainsi mais ne sont-ils pas plus beaux que la platitude et l'ennui ?

Écrit par : ariaga | 27/02/2012

Oh que voici un mot qui tombe bien, oui je suis tourmenté, le tourmentin est la voile qui me convient par vent de tempête, il a soufflé fort dans mon corps et mon esprit ces derniers jours mais le calme revient un peu
je suis bouillant d’énergie comme un vapeur avant la grande traversée.

Jamais je ne fut en phase, toujours en phrase
en avance ou en retard, le présent ne comptait pas assez
sauf dans les compétitions sportives ou dans le dur travaille
sur le chantier avec mon père durant les vacances
sinon l'esprit vagabond ne se fixait pas, sautillant encore et encore!
seule la lecture me fixait un horizon décent!

Écrit par : Thierry | 27/02/2012

Bonjour, je souhaite savoir si vous avez un moyen d'être tenu au courant de vos nouveautés!!!! votre site est géant, génial, je viens de le découvrir
Anne-Marie

Écrit par : Jamet-Paltretti | 09/03/2012

@ Jamet-Paltretti, vos compliments me touchent. Venez faire un petit tour tous les cinq ou six jours quand j'ai quelque chose à dire. Si je ne suis pas inspirée je préviens et je fais une pause. À bientôt, j'espère.

Écrit par : ariaga | 09/03/2012

Un certain, une certaine a fait

Écrit par : CHAPUIS | 10/07/2012

Ah j'oubliais, il ya ceux qui disent, et ils y a celles qui font... cela ne vous ne vous dit rien chère ancienne directrice ?

Écrit par : CHAPUIS | 10/07/2012