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01/02/2013

La lumière du noir

Les lumières.jpg

Quand la lumière est absente ou incertaine et que pour un temps on demeure dans l'envers du bonheur.

Quand une vitre d'angoisse nous sépare de la beauté de ce qui est.

Quand on ne sait plus déguster la saveur de la vie et que l'on remâche sans cesse le goût de l''amer.

Ce n'est rien, amis.

Rien que brindilles de moments qui n'attendent que la lumière du noir pour s'envoler et se consumer joyeusement dans l'inépuisable coeur de feu qui brûle au Centre de notre véhicule terrestre.

Ariaga

 

Commentaires

Bonjour chère Ariaga,

Parfois la forte houle des imprévus nous laisse croire que le bateau va chavirer, mais cela est sans compter sur la ferme résolution du Capitaine d'atteindre la Lumière du blanc Horizon... De tout Coeur, âmie

Écrit par : Phène | 01/02/2013

Bonjour Ariaga,
Derrière les nuages, il y a toujours l'espoir de voir reluire le soleil !
Je t'embrasse et salue ton retour. Tu verras les mouettes sont rieuses à la Rochelle !

Écrit par : danae | 01/02/2013

Au bord de mer, poussés par le vent, les nuages passent et disparaissent à l'horizon. Alors le soleil apparaît et tape si fort sur la mer qu'elle en a des bleus.

Écrit par : Daniel | 01/02/2013

Calme et silence de la brume ... Soudain la lumière du phare apparait ... Et s'entend le bruit des vagues sur le rocher ... La Vie est là, toujours là en nous ... Cette lumière cachée au fond de notre coeur ...

Écrit par : Francine Plantet | 01/02/2013

ce que vous dites est beau et ... si juste !

Écrit par : mabes | 01/02/2013

Phène, soutenu par les amis , le bateau continue à naviguer vers l'horizon de la réponse aux questions.

Écrit par : ariaga | 01/02/2013

Danae, oui elles rient très fort et il y a même des moments où elles se sont moquées de moi.

Écrit par : ariaga | 01/02/2013

Une fois je me souviens ou j'étais dans l'obscurité, c'est un oiseau, un simple oiseau qui c'est posé sur le rebord de mon volet. On aurait dit qu'il dansait et cela m'a fait sourire et ce sourire a été comme un petit soleil qui a percé la brume . Depuis lorsque je vois un oiseau, je pense a cette danse qu'a fait cet oiseau sur le rebord de ma fenêtre. Et c'est magique le rayon de soleil est toujours là :) Je t'embrasse Ariaga.

Écrit par : plume bleue | 01/02/2013

Heureux ceux qui ont la possibilité de le faire, la vie est si belle,si on le veut !!!

bonne journée avec bises

Écrit par : patriarch | 02/02/2013

oui, beaucoup d'entre nous, j'imagine, ont apprivoisé la lumière des soleils noirs, jusqu'à découvrir, tout au bout du tunnel, l'étincelle qui nous anime réellement... Il faut tenter de la retrouver dans les moments de grande incertitude... Je t'embrasse Ariaga...

Écrit par : lechantdupain | 02/02/2013

Flou ou fou, je ne sais ou fourrer mon regard
je ne suis pas tellement hagard
aveuglé mais pas à beugler
où est la source qui me ranimera
la limite est ténue
mais rien n'atténue complétement la peine
et puis il y a la poisse des jours pisseux
il faut des essuie glaces
pour faire un peu de place
à la nouveauté
on broie du noir dans le mortier
on n'en fait pas des tirs tendus
il y a des moments attendus
et d'autres qui ne viennent point

Écrit par : Thierry | 02/02/2013

Ariaga,

Je ne sais pourquoi mais la photo et le poème dans une forme de nostalgie doucereuse très agréable.

Merci de nous faire partager ton talent de plume et heureux que tu renoues avec le blog.

Amitiés,
Jean

Écrit par : Jean | 02/02/2013

Infinie cette quête entre Ténèbres et Lumière ...
Infinis ces aller-retour entre soi et Soi ...
L'espoir , lui, veille , jamais très loi, patient, tellement patient ...
Si tu savais Ariaga le plaisir de te lire à nouveau ...
Je n'étais pas très loin, en réalité, je restais en connexion ... il est vrai un peu trop muette ... Je vais bien ... Le Kaïkan est toujours à flot ... un peu plus lent, encore plus au-dedans mais il continue ses explorations méditatives ... Je t'embrasse bien fort, Mon Ariaga ... Tout doucement et fort ;-))

Écrit par : Kaïkan | 02/02/2013

Bonjour Ariaga,

Je me souviens, au moment où vous ouvriez votre blog, je mettais le mien (les petits billets de l’inconscient) en veille pour cause d’aléas de la vie réelle à affronter. (Pouff et Repouff ;-))
Déménagement, dépouillement.. j’ai connu cela aussi pendant l’intervalle de mon silence, et donc je comprends d'autant mieux ce que vous venez de traverser.
« Du mal, il m’est sorti beaucoup de bien », je vous souhaite de penser rien que cela très vite.
Très bon retour Ariaga !
isabelle

Écrit par : Isabelle | 02/02/2013

@ Daniel, c'est poétique ce que tu dis là sur les bleus de la mer.

Écrit par : ariaga | 02/02/2013

@ Francine Plantet, tu cris comme tu peins ...

Écrit par : ariaga | 02/02/2013

@ Mabes, des anciens nouveaux qui viennent au Laboratoire, j'aime ce retour d'un même différent.

Écrit par : ariaga | 02/02/2013

@ Plume bleue, quand une plume de l'oiseau vole et se pose délicatement ici, c'est beau et doux.

Écrit par : ariaga | 02/02/2013

BonSoir, chère Ariaga,
-----------------------------------
Ici, je perçois une lueur qui sonne comme un nouveau jour.
Là, dans l'obscurité de ta voix, je suis sûr qu'elle s'agrandira pour nous éclairer à nouveau de la joie de ton coeur rétabli.
Enfin, c'est tout le bonheur que je te souhaite de retrouver la lumière dans son intensité d'avant.

Avec toute ma silencieuse sympathie, Jack le poétiste.

Écrit par : Jack Maudelaire | 02/02/2013

Bonsoir amie,
la lumière jaillit toujours de l'obscurité
puis l'obscurité cherche à cacher la lumière ....
La lumière est toujours là et demande qu'à jaillir ...
Douce nuit
Bises amicales
Daniel

Écrit par : bichon39 | 02/02/2013

Merci pour ton passage et pour tes voeux. Reçois en retour les miens baignés de la plus belle des lumières.
Puisse cette lumière baigner encore et encore tes pas et la prunelle de ton coeur...
Thamitié

Écrit par : thami | 03/02/2013

Te voici revenue chère Ariaga ! quel bonheur !
Je te sens un peu différente après cette longue pause, mais ça me semble tout à fait "normal" Probablement un grand bouleversement dans ta Vie......

Ce que j' ai retenu dans cette illustration , c'est le "coeur" lumière que j'ai vu au milieu de la rue!!!!

n'est ce pas le plus important !!!

je t'embrasse Amie

Écrit par : mariedumonde | 03/02/2013

La lumière du noir me soulage
je met mes paumes sur mes yeux et laisse filtrer le minimum
dans la pénombre happé non par le nombre ni le sombre
je sais bien que s'apaisent mes crispations, mes cris d'action
tout me sépare encore du monde en bruit en gestation
et ces gesticulations
je me laisse aller dans la douce ombre tamisée
non je n'ai pas misé ni chercher à gagner le moindre recoin
mais comme si s'enfonçaient des coins
je sens que résonnent encore
les coups de boutoir
pas d'arrêt butoir
c'est encore le soir

Écrit par : Thierry | 03/02/2013

Je te souhaite un dimanche lumineux chère Ariaga. Je t'embrasse

Écrit par : danae | 03/02/2013

@ Thierry, c'est un plaisir de retrouver tes mots qui coulent librement, sans berges ...

Écrit par : ariaga | 03/02/2013

@ Patriarch, oui, la vie peut être belle si on pose sur elle le regard qu'il faut.

Écrit par : ariaga | 03/02/2013

@ Lechantdupain, "apprivoise la lumière des soleils noirs", sais tu que tu es un vrai poète ?

Écrit par : ariaga | 03/02/2013

@ Jean, je vois que, toi aussi tu a repris tes activités jungiennes sur ton blog. Tes textes sur LA LIBIDO sont excellents et je RECOMMANDE À TOUS CEUX QUI S'INTÉRESSENT À JUNG d'aller te lire. (dans mes liens à Bissur)

Écrit par : ariaga | 03/02/2013

A la Rochelle, tu trouveras certainement quelque chose, des paysages, des vitrines, des lieux qui te donneront un peu de baume au coeur. (je suis revenue de l'hôpital hier, samedi. L'opération de ma thyroïde s'est bien passée, je garde le lobe droit). Bons baisers Ariaga.

Écrit par : elisabeth | 03/02/2013

Elle est belle, cette photo, Ariaga.
Ne penses-tu pas que tu as le droit d'avoir le contrecoup de tout ce que tu viens de "passer" ?? avec en +, un déménagement, ce qui n'est pas anodin ! c'est même épuisant de préparer et d'exécuter un déménagement. Mais qu'est-ce qui draine le plus d'énergie dans cette démarche, n'est-ce pas le manque d'espace sur le plan affectif pour laisser se déployer sans contraintes tout le travail de la mémoire et de l'oubli mis en branle par le changement de lieu, l'évocation des souvenirs au fur et à mesure que l'on trie, que l'on jette.. ??? c'est normal que tu te sentes angoissée, tu as perdu tous tes repères familiers. Laisse toi le temps d'apprendre à te ré-orienter dans ton nouvel environnement.
Le printemps sera beau, tu verras.
Bisous, Ariaga

Écrit par : ambreneige | 04/02/2013

L'amer se crache, la vitre se casse, le bois noir s'enflamme, réchauffe les mains et les coeurs. En effet, ce n'est rien qu'un morceau de présent lourd comme une pierre.
Si j'ai compris ! Amitiés.

Écrit par : la Mère Castor | 04/02/2013

@ Kaïkan, j'ai cru que ton navire avait sombré, et cela me faisait beaucoup de peine. Je vais, tout doucement reprendre le contact.

Écrit par : ariaga | 04/02/2013

@ Isabelle, le monde des blogs est fluctuant. En ce moment des liens auxquels je tenais beaucoup se cassent. Heureusement d'autres reviennent et le fiat que tu sois jungienne me donne envie d'avoir des re-lations avec ton blog.

Écrit par : ariaga | 04/02/2013

@ Jack Maudelaire, tes mots sonnent juste et je suis touchée par la sincérité de tes souhaits. Avec toutes les pensées positives fortes, comme la tienne et celle d'autres amis du Laboratoire, je sens que je vais bientôt avoir beaucoup de lumière pour éclairer mon chemin.

Écrit par : ariaga | 04/02/2013

@ Bichon 39 tu as bien saisi le mouvement de balancier de l'énergie qui nous anime.

Écrit par : ariaga | 04/02/2013

c'est vrai mais parfois c'est pas si évident que ça il faut chercher loin en soi et dans les autres la force de mettre un pied devant l'autre
besos
tilk

Écrit par : tilk | 05/02/2013

Balle ans sciés, c'est vrai que le rebond du référentiel bondissant
dépend de la manière dont se dissipe l'énergie des chocs
c'est vrai que le temps n'est pas linéaire et prend des valeurs singulières
c'est vrai qu'il faut parfois se coupe de pans entiers de soi même pour continuer à vivre et que de ces amputations nécessaires même si pas librement consenties, parce qu'il n'y a pas moyen autrement, s'ébauchent des repousses et des surgeons imprévisibles et qui nous surprennent comme des cibles inconnues.
Le focus et le locus, là n'est pas le lieu de toutes les mises au point
mais quand le flou se dissipe c'est qu'on accommode mieux pour distinguer des détails signifiants et que le tableau se réorganise pour reprendre du sens.

Écrit par : Thierry | 05/02/2013

J'aime beaucoup la photo et le poème. Pour un spéléo la lumière du noir est évidente, et fourmille dans les yeux ouverts sur l'infini quand les lampes se sont tues.

BISES

Écrit par : ÉPHÊME | 05/02/2013

@ Thami, ce n'est pas la fin du monde , c'est même une ouverture à la création. Je fais allusion à ta note.Merci pour la lumière.

Écrit par : ariaga | 05/02/2013

@ Mariedumonde, je change parce que je vieillis et plus j'avance plus je me rends compte que le mot vieillesse est riche de sens et que, en particulier, il comporte le mot vie. J'ai envie d'y mettre une majuscule.

Écrit par : ariaga | 05/02/2013

Danae, merci pour ta fidélité et pour la régularité avec laquelle nous nous fait voyager.

Écrit par : ariaga | 05/02/2013

@ Élisabeth, l'amitié est présente sur ton blog en ce moment et je crois que ce n'est pas par hasard. Elle est tellement précieuse et fragile.

Écrit par : ariaga | 05/02/2013

Un petit clin d'œil amic♥l pour te souhaiter une belle soirée, chère et douce Ariaga

Écrit par : Phène | 05/02/2013

La vie est alternance de joies et de peines, de jours et de nuits, de moments d'espoir et de moments vides ou amers...

C'est parce que la nuit existe que l'aube est si belle...

Amitiés.

Écrit par : La Licorne | 05/02/2013

Coucou amie Ariaga, l'obscurité protège et la lumière redonne espoir et vitalité...bof, pas terrible mon commentaire, n'est-ce pas ?
normal, c'est encore le matin, faut que mes neurones se mettent en place...bise à toi et bonne journée.

Écrit par : le Pierrot | 06/02/2013

@ Ambreneige, tes encouragements me vont droit au coeur.

Écrit par : ariaga | 06/02/2013

@ La Mère Castor, comme tu le dis bien !

Écrit par : ariaga | 06/02/2013

@ Tilk, nous sommes tous reliés fans la Totalité de ce qui est.

Écrit par : ariaga | 06/02/2013

Coucou me voici. Conteuse voyageuse...
je lis ton article, Ariaga, j'aime ce que tu dis là, je ne trouve rien à ajouter ! J'adhère !
la gaillarde conteuse, elle sait aussi se taire... et s'incliner

Écrit par : la gaillarde conteuse | 06/02/2013

J'ai gardé une image en moi comme symbolique d'espoir et de résilience: celle d'un raie de lumière traversant une vieille porte de bois entre ouverte.

Écrit par : Louis-Paul | 07/02/2013

@ ÉPHÊME, le compliment venant de toi me touche.

Écrit par : ariaga | 07/02/2013

@ Thierry, j'aime beaucoup ton dernier texte. Il parle fort à ma grande oreille remplie de sable.

Écrit par : ariaga | 07/02/2013

@ La Licorne, je reconnais bien là cette pensée jungienne de la nécessité des opposés pour que se fasse le travail vers la conjonction. Merci.

Écrit par : ariaga | 07/02/2013

@ Le Pierrot, je crois que tes neurones vont bien ...

Écrit par : ariaga | 07/02/2013

@ la gaillarde conteuse, non tu ne dois pas te taire nous avons trop besoin de tes histoires.

Écrit par : ariaga | 07/02/2013

@ Louis Paul, quelle belle image, je la vois cette porte entrouverte, et j'ai envie de savoir ce qu'il y a derrière.

Écrit par : ariaga | 07/02/2013

Je suis passée....j'ai lu.... !

Écrit par : *MeL* | 08/02/2013

J'aime tes phrases si positives et comme soufflées à l'âme, hein, Ariaga ...

J'ai dansé dans le vent
Tournoyé sous l'onde et ...
Mon teint s'est éclairci, mon sang s'est retrouvé
Ne dit-on pas :
Après la pluie, le beau teint ?

C'est une toulousaine qui te parle, avec l'accint !
:)
Ame, t'y es

Écrit par : Veronica | 17/02/2013