30/07/2007
SILENCE, méditation, transmutation.
J'éprouve aujourd'hui le besoin, qui, de temps en temps au fil des années, tombe sur moi comme une chape d'évidence, de me retirer du monde, y compris le monde virtuel, pour méditer dans le silence. Beaucoup de signes et de synchronicités que je ne voulais pas voir, de la brûlure des fièvres aux rêves récurrents, m'ont enfin remise sur une route où la spiritualité passe au premier plan. Ce n'était pas seulement Jung qui cherchait à s'exprimer mais à travers lui la longue chaîne des alchimistes et Philosophes de la Nature. Ce blog aura un an à la fin du mois de septembre et soyez certains que, bien avant cette date j'aurai fait le point et retrouvé cette joie de vivre qui ne peut venir que d'une harmonie entre l'âme et le corps, harmonie que je ne ressens pas en ce moment. Je suis certaine que le silence et la méditation, comme à chaque fois que je me suis retrouvée dans cette situation, me feront revenir vers vous et vous " inonder " de textes issus, je l'espère de la véritable profondeur qui est celle de l'Amour pour soi-même et pour les autres, c'est à dire pour la totalité de ce qui EST.
Je dois me pencher sur la profondeur des eaux, réduire au minimum vital le feu de l'athanor, mais je serai toujours là, en silencieuse méditation, sur le banc, avec mes amis. J'espère qu'ils continueront à le faire vivre et à voyager au pays de l'imaginaire.
Beaucoup d'inconnus, curieux du Laboratoire et surtout d'Ariaga, sont venus ces derniers temps, fréquenter ce blog. D'autres viendront peut-être et je leur donne des liens envers quelque textes en prose ou poésie qui peuvent les aider à comprendre, si tant est qu'il y ait quelque chose à comprendre...Je vous embrasse tous amis connus et inconnus.
Ariaga
Poésies d'Ariaga déjà publiées sur le blog
12:20 Publié dans Philosophie, photo | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : écriture, poésie, spiritualité, photo, philosophie, Jung, alchimie
14/06/2007
Organisation et harmonie par le Soi
16:55 Publié dans Jung et la psychologie des profondeurs, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : écriture, spiritualité, philosophie, psychologie, Jung, Soi
12/02/2007
La terreur sacrée
Ce matin le vent soufflait très fort et je sentais une force qui me bouleversait...
Le sacré, comme catégorie d'évaluation rationnelle ou d'interprétation symbolique appartient au domaine religieux et éthique. Ici, je parle d'émotion et d'irrationnel. Un nom, repris par C.G.Jung, a été donné à cette émotion par R. OTTO. Il s'agit d'un théologien allemand (1866-1937) auteur d'un ouvrage intitulé Le Sacré (ed. all.1929, trad. fr. 1949, Payot.) qui a appelé cette grande émotion le numineux (de numen). Il s'agit d'une émotion que certains ont peut-être ressenti, celle du mystère qui fait frissonner. Ce peut être une onde paisible ou un surgissement dans l'âme produisant un choc intense, et aussi un tremblement de la créature qui demeure silencieuse et humble devant un mystère qui fait chavirer les catégories de sa raison et la fait se sentir minuscule.
je pense aussi à la colère de Jahveh dans la bible, colère qui s'enflamme comme une force cachée de la Nature, provoquant un terrible effroi. Dieu, ressenti comme une majesté suprême, omnipotente, omnisciente, peut aussi être source d'une forte numinosité. Je dis forte parce que je pense force. Le numineux dégage une forte énergie, une, tension de l'être qui est le moteur d'une excitation conduisant à un terrible ascétisme ou à des actes héroïques dépassant l'imagination.
On peut aussi retrouver le numineux dans l'expérience puissante d'un grand rêve qui laisse le rêveur "tremblant", et aussi dans l'oeuvre alchimique spirituelle pendant laquelle certains, au lieu de suivre la voie patiente et "humide", ont soudain , pour avoir employé un feu violent, brûlé et tremblé de peur devant la lumière trop éblouissante qui éclairait la voie sèche. Et les poètes... j'en ai lu sur des blogs amis qui doivent très bien "ressentir" ce que je veux dire quand je pense à la numinosité.
17:25 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : écriture, spiritualité, Dieu, philosophie, alchimie
16/11/2006
L'hermétisme
Comme je vais certainement vous parler souvent de l'alchimie, ma deuxième passion après C.G. Jung, je crois nécessaire de proposer à la méditation un très beau texte intitulé "La table d'émeraude"et attribué au légendaire Hermès Trismégiste (trois fois le plus grand). Il y aurait eu trois Hermès successifs : l'un aurait vécu avant le déluge et fut un civilisateur de l'humanité, l'autre, plus tardivement, à Babylone comme médecin, mathématicien et philosophe. Le dernier Hermès, maître en sciences occultes serait celui qui transmit l'alchimie à l'humanité. D'où le terme hermétisme qui désigne les doctrines ésotériques des alchimistes et aussi le côté quelque peu "hermétique" de leurs écrits ...
C'est donc à ce "triple"Hermès que l'on attribue le texte suivant qui à été pour moi, et certainement pour beaucoup d'autres chercheurs de vérité, l'objet de nombreuses méditations et qui, surtout, justifie à mes yeux le nécessaire voyage de la terre vers le ciel mais aussi du ciel vers la terre notre mère à tous. Il existe de nombreuses versions mais j'aime beaucoup celle- ci par son côté "traditionnel".
Il est vrai, certain et sans mensonge, que tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas : pour accomplir le miracle d'une seule chose. De même que toutes choses tirent leur origine de la Chose Unique Seule, par la volonté et le verbe de l'Un, Seul et Unique qui l'a créée dans son Esprit, de même toutes les choses doivent leur existence à cet Un par ordre de la Nature et peuvent être améliorées par l'Harmonie avec cet Esprit.
Son Père est le Soleil, sa Mère la Lune, le vent le porte dans son sein et sa nourrice est la Terre. Cette Chose est le Père de tout ce qui est parfait dans le monde. Son pouvoir est le plus parfait. Lorsqu'elle a été changée en Terre, sépare la Terre du Feu, le subtil de l'épais, mais soigneusement et avec beaucoup d'intelligence et d'industrie.
Elle monte de la Terre vers le Ciel et redescend, nouveau-né sur la Terre entraînant ainsi en elle la puissance du Supérieur et de l'Inférieur. Ainsi, la splendeur du monde entier sera tienne et toute obscurité te fuira.
C'est le plus puissant de tous les pouvoirs, l'Energie entre toutes les énergies, car il triomphe de toutes les choses subtiles et pénètre tout ce qui est solide. Car c'est ainsi que le monde fut créé et que sont réalisées des combinaisons rares et des merveilles de toutes sortes.
C'est pourquoi on m'appelle Hermès Trismegistus, car je me suis rendu maître des trois parties de la sagesse du monde entier. Ce que j'ai à dire sur le chef-d'oeuvre de l'art alchimique, l'OEuvre Solaire, est maintenant achevé.
18:05 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : écriture, spiritualité, citations, Nature, philosophie, alchimie
09/11/2006
Méditation matinale
Il y a des jours où l'automne est dehors mais, dans la tête, on a plein de fleurs.
On ouvre son blog, et on y trouve des commentaires de frères d'âme qui ont l'air de comprendre votre démarche.
Alors on s'assied, on respire, ce qui est déjà un grand privilège, et on remercie le Dieu de son coeur, celui auquel on s'adresse, comme un enfant, quand on est malheureux, pour demander, ou heureux, pour remercier. On pense au cadeau de la Nature : la vie sous toutes ses formes. Le privilège d'en faire partie et d'en être conscient. Le privilège de pouvoir évoluer et devenir plus grand que son petit moi.
Et puis, même si le quotidien est parfois très difficile on remercie d'avoir la force de l'accepter avec amour, d'accepter encore et encore et de dire : "merci, si c'était à refaire je recommencerais". C'est aussi cela l'AMOUR .
18:06 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : écriture, spiritualité, nature, amour, philosophie
29/10/2006
La sagesse de la Nature
En cette journée d'automne trop chaude où, immobile dans la tièdeur, j'appelle des ondes frissonnantes et une petite pluie glacée qui réveille la peau, je médite et je m'interroge sur l'éventualité d'une "sagesse" remontant du fond d'où dérivent tous les êtres, c'est à dire la Nature. Attention, par sagesse de la Nature je n'entends pas morale. la morale est affaire de civilisation et de moment historique. Je pense à une Nature au sein de laquelle l'homme devrait être un lieu, un temple, où les fonctions biologiques et l'Esprit s'interconnectent (je veux dire sont en relation) harmonieusement. Or, l'autonomie, indispensable pour sortir de l'animalité, que l'être humain a acquise vis-à-vis de cette Nature, a évoluée vers une complète rupture. Nous ne voulons plus rien avoir à faire avec notre Mère Nature et toutes nos pulsions originaires se sont réfugiées dans l'inconscient.
J'aimerais montrer, , en continuant la voie ouverte par C.G.JUNG, que, si le monde est malade de divisions, déchirements, guerres, perte du sentiment religieux, si les hommes ont de plus en plus tendance à considérer l'Autre comme un ennemi qu'il faut soit rendre semblable à soi, soit détruire, il est peut-être possible d'apporter quelques remèdes à cette situation en se mettant à l'écoute du discours de l'inconscient.
Je pense que le rêve, messager de l'inconscient, et surtout les séries de rêves, sont une véritable leçon, une source d'information, sur une Nature oubliée, devenue étrangère, et pourraient se révéler très utiles pour une société qui a perdu le contact avec ce qui constituait une part essentielle de son humanité.
L'inconscient est un pays étranger par rapport au conscient. Décider d'entrer en relation avec lui représente un geste de coopération avec l'Autre, l'étranger le plus proche, celui qui est en nous. C'est aussi faciliter l'intégration par le Moi conscient de cette pensée dont Jung était pénétré : il n'y a pas de "Je" sans "Toi".
J'aimerais dénoncer l'illusion d'une "insularité" du Moi, du "Je pense". Il serait temps, par delà même de la référence à la Nature, de redevenir les participants d'une totalité dont nous nous sommes exclus. Il serait alors possible d'instaurer un véritable dialogue entre le couple féminin-masculin, puis d'étendre cette remise en question de l'insularité où nous nous sommes enfermés à l'ensemble des formes de vie.
J'espère, en ce tiède jour d'automne où je me suis un peu laissée emporter par mon amour de la Vie sous toutes ses formes, que bientôt l'être humain va réfléchir à ses relations avec lui même, les autres, le monde, et le divin.
16:55 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : écriture, spiritualité, philosophie, nature, Jung
18/10/2006
L'alchimiste en son laboratoire
J'avais accusé les ordinateurs, d'être des instruments diaboliques et SOUPLOUNITE m'avais dit, dans un commentaire ,qu'il suffisait de les apprivoiser. Passée l'irritation devant le "il suffit de", le mot de ceux qui savent et trouvent simple ce qui pour d'autres ressemble au dressage d'un dragon, j'ai médité sur l'irrémédiable nécessité de pactiser et même de me lier d'amitié avec cet étranger.
J'ai commencé par le nommer, celui qui a un non cesse d'être un absolument Autre, et , spontanément, je l'ai baptisé ATHANOR. C'est alors que le processus de re-connaissance s'est enclenché : Athanor était un des maillons de la chaîne qui relie celui-là qui marche dans les pas des anciens alchimistes-philosophes. L'alchimiste dans son laboratoire, "instruit par Dieu et par la Nature", méditait, cuisait, distillait, pour transformer la matière, et surtout lui même.
Athanor, l'ordinateur, contient la matière de l'Oeuvre : une possibilité de connaissances presque illimitées, mais cette matière, grossière ou raffinée, doit être transmutée par le chercheur. Athanor est à la fois le fourneau et la cornue de celui qui oeuvre pour transmettre. Mais les anciens alchimistes juraient de respecter le secret de ce qui leur avait été transmis et de leurs découvertes. C'est pourquoi leur langage était aussi surréaliste. Faudra t-il un jour crypter son langage pour divulguer par l'intermédiaire d'un ordinateur, sur un blog, les résultats d'un travail de chimie mentale ?
18:50 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : spiritualité, écriture, alchimie, photo
10/10/2006
Faire silence
La camisole du bruitage incessant nous rend sourd à la voix de ce que certains appellent l'"ami intérieur", d'autres l'inconscient. Si on enlève cette camisole on peut , dans le silence retrouvé, pratiquer ce que les alchimistes du moyen âge appelaient la "meditatio" et l'"imaginatio" et dont ils faisaient le fondement de leur Œuvre d'alchimie spirituelle. Alors, d'autres images, d'autres paroles, issues du fond commun de l'humanité, peuvent advenir. Le plus souvent, on ne les voit plus, on ne les entend plus et elles demeurent oubliées dans les profondeurs de l'inconscient où vont parfois les chercher les "fous" et les poétes.
Mais rester silencieux est difficile. J'en suis le premier exemple puisque j'écris sur ce blog. En tous cas j'ai décidé de ne plus me parer du plumage de la "philosophie" et désormais, quand j'essaierai de réfléchir, je parlerai de "méditation". Cela m'aidera peut-être à éviter le bruitage des mots trop chargés de sens.
15:30 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : spiritualité, philosophie, photo, méditation
08/10/2006
Accepte
Aujourd'hui, une méditation poétique avant mon travail quotidien dans le Laboratoire du Rêve et de l'Alchimie spirituelle. Travail invisible, nourriture indispensable.
Accepte...
Dépouille toi comme un arbre qui a traversé les hivers
Perds tes feuilles
Dont tu étais si fière
Acceptent les rides qui creusent dans ta chair
Comme le sculpteur dans la pierre
Elles cherchent ton visage d'enfant
Bientôt tu seras vieille et belle
Regarde toi dans les yeux
Mensonge et peur
Accepte d'arracher cette flèche plantée dans tes entrailles
Accepte la douleur suave de la Vérite
Et vide toi pour te remplir
D'une sève nouvelle
11:35 Publié dans Philosophie, poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, spiritualité, écriture
02/10/2006
Souplounite et Ephème
J'aime le commentaire de Ephème sur le commentaire de Souplounite qui me parlait très justement de Kant. Il me montre que je ne dois pas m'aventurer trop profond (mais y a t-il tellement de profondeur ? )dans les eaux de la philosophie. Ephème dit qu'il ne faut pas se dissimuler derrière les auteurs.
Maintenant que je suis vieille, et pas encore sage, le maquillage me semble superflu. Je répondrai à Ephème dès qu'un RE-présentant se présentera à moi, de préférence en habit de poète.
Ariaga
16:50 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : écriture, philosophie, kant, poète, blog
01/10/2006
Représentation symbolique
Pour continuer la réflexion sur la RE- présentation...
Les rêves sont une possibilité de contact avec une région étrange où se parle une langue incompréhensible. L'inconscient, cet Autre qui ne peut se présenter lui-même, délégue des ambassadeurs. Ces représentants symboliques vont donner une sorte de représentation théatrale. En effet, dans la plupart des rêves, on retrouve une certaine structure évoquant les différents actes d'une pièce de théâtre avec décors, dialogues et personnages amis ou ennemis. Le rêveur est spectateur ou acteur. Les scènes peuvent être surprenantes et défier les règles de la logique, mais les matériaux sont re-connus même si le sens de la représentation est confus.
La représentation est action quand les images sont décodées puis matérialisées. Jung, par exemple, a éprouvé le besoin de poétiser, dessiner, sculpter, bâtir la tour de Bollingen à des périodes de sa vie où il était assailli par des rêves et des visions. Il écrit dans Ma Vie :"Je devais en quelque sorte, représenter dans la pierre mes pensées les plus intimes et mon propre savoir … ."Il faisait oeuvre artistique en passant de l'immatériel au réalisé. En effet, la véritable démarche artistique se traduit par un acte personnel fort. L'artiste s'empare d'images imposées au Moi par l'Inconscient pour en faire un acte créateur qui n'est pas un RE mais une présentation originale.
Quand je pense à l'artiste et à la représentation je vois "présent" au centre du mot. L'artiste inspiré a reçu un don, celui de présenter aux autres quelque chose de nouveau qu'ils n'ont pas la chance de percevoir.
Ariaga
16:50 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : jung, psychologie des profondeurs, philosophie, rêve
29/09/2006
Représentation = RE présentation
Aujourd'hui, il va falloir se décider à réfléchir un peu. C'est difficile quand on préfère la poésie à la philosophie, mais la méditation sur le sens des mots et des choses est indispensable si on veut remplir l'athanor du laboratoire.
Quand je pense à ce qu'est la représentation, c'est le Re qui me semble le plus important. Le re de re-produire, re-mémorer, re -connaître, re-voir, re-commencer. Ils sont tous là, et sans doute bien d'autres. Il faudrait le demander à Edgard Morin.
Celui qui n'a pas le RE du déjà connu, déjà identifié est un "absolument autre", qui ne peut se présenter directement car il est un étranger, un innommé, parlant une langue incompréhensible. Or, les possibilités de compréhension de l'esprit humain se limitent à une reconnaissance d'éléments déja appris et connus, même s'ils ne font pas partie de la mémoire consciente.
Généralement nos représentations sont une sorte de brassage de métériaux qui sont déjà là, plus ou moins bien identifiés. Mais, si on a le courage, comme le fit Jung, de descendre dans les profondeurs de la psyché, alors, c'est une autre histoire... pour une autre fois.
Ariaga
17:25 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : jung, philosophie, psychologie des profondeurs, psychologie
26/09/2006
Le laboratoire
Dans les pas de Jung et des Alchimistes Philosophes de la Nature, ce laboratoire se veut, loin des langages de spécialistes et des contraintes universitaires, un lieu de réflexion sur l'exploration et la transmutation de l'univers intérieur.
Les matériaux du travail seront : diverses représentations symboliques telles que des séries de rêves, la poésie, les arts et tous les écrits révélant la recherche sincère d'un plus grand degré de conscience des contenus de notre psyché. ici, pas d'ésotérisme de pacotille ou de références dogmatiques à une quelconque religion ; en effet, "le véritable temple de l'homme n'est pas de pierre car c'est en lui que réside la clef de tous les mystères".
Ariaga
15:00 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : alchimie, spiritualité, jung, photo, écriture, philosophie